Génération PCJekyll2016-01-20T10:49:38+01:00https://www.generation-pc.net/Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.net/thomas@generation-pc.nethttps://www.generation-pc.net/tutoriels/utiliser-blackfire-avec-php72016-01-20T00:00:00+01:002016-01-20T00:00:00-00:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p><a href="https://blackfire.io/">Blackfire</a> est un service proposé par Sensiolabs, permettant de faire un profil de consommation d’une application PHP dans le but de l’optimiser. Rendu public bien avant la sortie de PHP 7, ce service ne propose malheureusement pas de clients à jour à l’heure où j’écris ces lignes, d’où ce tutoriel.</p>
<h2 id="la-solution">La solution</h2>
<p>Au lieu de se reposer sur les services proposés, c’est à dire le <code>probe</code> – la sonde – pour récupérer les profils de performance bruts, et l’<code>agent</code> – service à mettre sur le serveur web – chargé d’envoyer les données aux serveurs de Blackfire, nous allons simplement récupérer les données depuis <code>XDebug</code> au format <code>cachegrind</code> puis les uploader “manuellement” en utilisant le client fourni par Blackfire.</p>
<h3 id="configurer-xdebug">Configurer XDebug</h3>
<p>Je vais considérer qu’XDebug est installé sur votre machine (testable à l’aide de la commande <code>php -i | grep "xdebug support"</code> si vous êtes sur Mac OS X ou Linux).</p>
<p>Pour profiler une page, nous allons donc changer le fichier de configuration d’XDebug. La commande suivante vous permettra de trouver le fichier à éditer :</p>
<p><code>
php -i | grep xdebug.ini
</code></p>
<p>Ajouter les lignes suivante à ce fichier (ou éditer la valeur actuelle si la ligne existe déjà) :</p>
<p><code>
xdebug.profiler_output_dir = /tmp/cachegrind/files
xdebug.profiler_enable_trigger = 1
</code></p>
<p>La première ligne doit correspondre à un répertoire existant sur la machine. Vérifiez son existance ou créez le avant tout (<code>mkdir -p /tmp/cachegrind/files </code>).</p>
<p>La seconde ligne permet d’activer la collection de données uniquement lors de l’utilisation du paramètre <code>XDEBUG_PROFILE=1</code> (passable par cookie, en GET ou en POST).</p>
<h3 id="uploader-sur-blackfire">Uploader sur Blackfire</h3>
<p>Après avoir executé votre première requête avec <code>XDEBUG_PROFILE=1</code> activé, vous trouverez un fichier <code>cachegrind</code> dans le dossier spécifié.</p>
<p><code>
$ ls /tmp/cachegrind/files/
cachegrind.out.697
</code></p>
<p>Il faut donc maintenant avoir le client Blackfire installé. Vous pouvez utiliser <code>which blackfire</code> pour vérifier si le client existe, et si cette commande retourne <code>blackfire not found</code>, vous devez alors suivre la <a href="https://blackfire.io/docs/up-and-running/installation">procédure d’installation</a> (installez uniquement l’agent en suivant les instructions intitulées <code>Installing the Blackfire CLI tool</code>).</p>
<p>Enfin, uploadez le fichier cachegrind à l’aide de l’agent :</p>
<p><code>
blackfire upload /tmp/cachegrind/files/cachegrind.out.697
</code></p>
<p>Voilà, le profil sera alors disponible sur blackfire.io comme vous avez l’habitude avec PHP 5.x sans intervention de votre part.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/tutoriels/utiliser-blackfire-avec-php7">Utiliser Blackfire avec PHP 7</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on January 20, 2016.</p>https://www.generation-pc.net/tutoriels/phpbb-erreur-trailing-paths-not-supported2015-05-16T00:00:00+02:002015-05-16T00:00:00-00:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Suite à une mise à jour du forum de l’un de mes clients, lié à un site et hébergé chez OVH en mutualisé, nous avons rencontré l’erreur <code>Trailing paths and PATH_INFO is not supported by phpBB 3.0</code> de PhpBB lors de l’accès aux pages ayant une url commençant par index.</p>
<h2 id="lerreur">L’erreur</h2>
<p>PhpBB3 n’autorise pas l’accès aux pages en utilisant la variable <code>$_SERVER['PATH_INFO']</code>. Le site utilise une redirection pour toutes les urls ne correspondant pas à un fichier physique, envoyant toutes les requêtes sur le fichier <code>index.php</code>.</p>
<h2 id="la-correction">La correction</h2>
<p>Il suffit en fait d’ajouter l’option <code>-MultiViews</code> dans le fichier <code>.htaccess</code> pour indiquer au <a href="http://httpd.apache.org/docs/2.2/mod/mod_negotiation.html">mod_negociation</a> d’Apache, activé par défaut chez OVH, que l’on ne veut pas que le serveur cherche un fichier avec le même nom et n’importe quelle extension dans le dossier cible.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/tutoriels/phpbb-erreur-trailing-paths-not-supported">PhpBB erreur Trailing paths not supported</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on May 16, 2015.</p>https://www.generation-pc.net/tutoriels/heberger-un-site-gratuitement-ou-presque2014-05-10T00:00:00+02:002013-05-31T00:00:00-00:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<blockquote>
<p>Thomas, saurais-tu comment héberger gratuitement mon portfolio ?</p>
</blockquote>
<p>Une question qui revient très régulièrement… Normal, me direz-vous, quand on commence, après les études notamment, on n’a pas forcement d’argent a investir dans l’hébergement d’un portfolio.</p>
<p><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/01.png" alt="Portfolio example" /></p>
<p>Je vais commencer cet article par un avertissement pour vous aider a choisir quel investissement faire pour maximiser le rendu. Cet article va traiter de solutions avec le fournisseur de nom de domaine OVH, que j’ai testé et approuvé pour vous, mais gardez en tête que de nombreux autres proposent des services plus ou moins equivalents pour un prix relativement similaire. A vous donc de choisir. Bien entendu, utiliser un hébergeur gratuit ne vous garantie aucune qualité de service, c’est pourquoi la solution expliquée ci-dessous contient des niveaux de sécurité concernant l’accès au site, qui ici sont utilisés entre autre en secours, mais les memes techniques s’appliquent sur vos futurs sites professionnels dans un soucis de qualité de service.</p>
<h2 id="etape-1--le-nom-de-domaine">Etape 1 : le nom de domaine</h2>
<p>Le nom de domaine représente une étape importante de votre personal marketing. C’est le point d’entré de votre site, il doit être a la fois court et plein de sens, pour un portfolio probablement votre nom, ou votre pseudo en ligne. Le problème des noms de domaines, c’est que ce n’est pas gratuit, mais ce n’est pas non plus excessivement cher.</p>
<p>Vous pouvez cependant prendre un nom de domaine gratuit, soit en passant par un fournisseur comme <a href="http://www.dot.tk/fr/index.html">Dot TK</a>, ce que je vous déconseille car si les recruteurs que vous croisez sont un minimum branché web, ils vont trouver ca pas terrible, ou encore prendre un sous domaine court, et pratiquement impossible a retenir pour les personnes a qui vous parlez du site, du style .fr.nf chez <a href="http://www.azote.org/">Azote.org</a> (qui reste un très bon service pour des sites personnels ou des plateformes de dev).</p>
<p>Mon conseil personnel, vous l’aurez compris, est de payer le nom de domaine chez un vrai fournisseur, comme OVH ou Godaddy (au pire).</p>
<p>Quel que soit votre fournisseur, il vous donnera accès a une interface de gestion sur laquelle vous pourrez retrouver les memes concepts que ceux que j’explique pour OVH dans le reste du document.</p>
<h2 id="etape-2--lhbergement">Etape 2 : l’hébergement</h2>
<p>Malheureusement pour vous, j’ai en partie failli a mon objectif dans le premier point, vous demandant de payer (d’ou le presque gratuit dans le titre). Le domaine étant acheté, le reste sera réellement totalement gratuit.</p>
<p>L’hébergement, pour les vraiment novices, c’est la ou vous aller déposer les fichiers de votre site web. Il contient généralement un accès FTP/SFTP pour déposer les fichiers, une base Mysql pour les données dynamiques, et il sera accessible en utilisant votre nom de domaine a condition que vous fassiez pointer votre domaine sur son adresse IP.</p>
<p>OVH, ainsi que de nombreux autres fournisseurs, vous proposent des packs comprenant l’hébergement et le nom de domaine, préconfigurés, ce qui vous permet de ne pas vous soucier de la configuration. Cependant, ces packs sont plus cher que d’acheter un domaine et prendre un hébergement gratuit, simplement parce qu’ils incluent une qualité de service, avec pourcentage garantie de disponibilité en ligne notamment, ce que ne font pas les gratuits. Opter pour la solution gratuite vous permettra aussi de comprendre les rouages qui se passent de manière transparente pour vous lorsque vous achetez un pack hébergement, et meme un peu plus, ce qui fera de vous un meilleur professionnel du web !</p>
<p>Je vais donc vous recommander un héberger gratuit, proposant a l’heure ou j’écris ces lignes 500mo d’espace disque, une base mysql et l’utilisation d’un domaine personnalise, c’est a dire tout ce dont vous avez besoin. Cet hébergeur est un hébergeur associatif français, <a href="https://www.olympe.in/?lang=FR">Olympe.in</a>, n’hésitez pas a leur faire des dons des que vous en aurez l’opportunité.</p>
<p><a href="https://www.olympe.in/?lang=FR"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/02.png" alt="Logo Olympe Hosting" /></a></p>
<p>Je me permets de me dispenser des étapes d’inscription et de connection au panel de gestion, demandez en commentaire si vous désirez que je les ajoutes.</p>
<p>Je nous considère donc connecté au panel de gestion d’Olympe.in. Pour des raisons de disponibilité des domaines que je possèdes deja, la demo sera faite a l’aide du domaine theocrite.eu.</p>
<p>La capture ci-dessous va nous permettre d’avoir une vue d’ensemble de l’interface de gestion d’Olympe.in, puis de créer l’espace d’hébergement de fichier pour le site. On voit sur le point 1 le menu, plus précisément l’onglet courant (“Sites” pour les actions que nous désirons effectuer). Le point 2 nous prouve que nous sommes bien connecté, avec le bon compte.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/03.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/03.png" alt="Olympe panel screen capture" /></a></p>
<p>Le point 3 représente l’action que nous allons effectuer : créer un nouveau site. Celui-ci aura un sous domaine de la forme vous.olympe.in, et nous changerons ce domaine plus tard.</p>
<p>L’illustration ci-dessous montre la creation du site test.olympe.in (test étant deja occupé, le nom sera theocrite dans les captures suivantes). Apres avoir renseigné le nom du site et le mot de passe que vous désirez pour la connection SFTP, cliquez sur le bouton “créer”.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/04.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/04.png" alt="Olympe panel script capture - add a new site" /></a></p>
<p>Vous disposez dès lors d’un acces au site et a sa configuration.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/05.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/05.png" alt="Olympe panel screen capture website button" /></a></p>
<p>Cliquer sur le bouton vous amènera sur la page de configuration du site en question.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/06.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/06.png" alt="Olympe panel site management screen capture" /></a></p>
<p>Les informations importantes sont disponibles dans l’encadré rouge. En utilisant les données des points 1 et 2, ainsi que le mot de passe renseigné dans le formulaire de création du compte sur la plateforme (étape précédente), vous pouvez maintenant envoyer vos données sur l’espace disque qui vous est alloué. Je vais utiliser Filezilla dans les captures suivantes, car c’est un logiciel disponible sur tous les systèmes d’exploitation, mais sachez que vous pouvez en utiliser d’autres tel WinSCP. Notez qu’Olympe est un hébergeur un peu special, qui fournis un accès SFTP et non pas FTP, ce qui fait d’un point de vue sécurité que votre mot de passe ne transite pas en clair sur le réseau, contrairement a de nombreux autres hébergeurs.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/07.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/07.png" alt="Olympe.in upload using Filezilla" /></a></p>
<p>Dans Filezilla, on va rentrer les données fournies par l’hébergeur (1, 2, 3, 4). Il est important de noter que nous allons utiliser le port 22 (SFTP) (4), alors que la configuration par défaut de Filezilla aurait été d’utiliser le port 21 (FTP). L’utilisation de ce champ de formulaire pour le port est très importante, sinon vous n’arriverez pas a vous connecter. Un fois connecté (5, 6), vous pouvez envoyer vos fichiers (7), puis consulter le site en utilisant votre adresse .olympe.in.</p>
<p>Si vous avez besoin de bases de données, c’est le moment de la créer et de la remplir sur le panel de gestion d’Olympe, puis de changer votre configuration de connexion dans vos fichiers PHP. Je ne vais pas détailler ce processus ici, mais toute demande d’aide en commentaire sera traitée.</p>
<p>Votre site est maintenant fonctionnel, mais il n’est pas rattaché au nom de domaine que vous avez acheté. Si votre site ne marche pas a cette étape, allez mettre en commentaire en bas de page ! On va maintenant attacher votre domaine a votre site sur l’hébergement, ce qui signifie que le domaine ne sera pas réellement rattaché, mais si vous envoyez une requête au serveur d’hébergement avec le domaine en cible, ca marchera. Si vous désirez approfondir le problème de pointage du domaine, regardez du cote des fichiers hosts de votre système, mais ce n’est pas le sujet du jour.</p>
<p>Allez maintenant dans l’onglet “Domaines” du panel Olympe, puis cliquez sur “Ajouter un domaine”.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/08.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/08.png" alt="Add a domain on Olympe.in panel" /></a></p>
<p>Il faut ensuite completer un formulaire dans lequel on va entrer les informations du domaine. Le premier champ est simplement votre nom de domaine seul. Le second champ est simplement le site a associer au domaine. Comme vous disposez d’un seul site avec le compte de base d’Olympe, vous n’aurez de toutes façons pas le choix ! Pour le troisième champ, nous allons simplement entrer www, ainsi le dossier www sera crée a la racine de votre espace web. et deviendra le DOCUMENT_ROOT de votre espace web, c’est a dire la ou votre domaine pointera. Cliquez ensuite sur le bouton “Créer”.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/09.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/09.png" alt="Olympe - Domain configuration" /></a></p>
<p>Voila pour la configuration sur Olympe, on va maintenant copier l’adresse IP fournie par Olympe pour faire pointer le domaine dessus.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/10.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/10.png" alt="Olympe - Domain information" /></a></p>
<p>Copiez cette adresse, nous allons l’utiliser dans la section suivante. Je vous laisse découvrir par vous meme les autres fonctions d’Olympe, notamment si vous désirez mettre en place une base SQL ou encore vous désirez avoir une adresse email personnalisée. Vos questions sont bien entendu les bienvenues dans les commentaires.</p>
<h2 id="modifier-le-pointage-de-votre-domaine-ovh">Modifier le pointage de votre domaine OVH</h2>
<p>Nous allons maintenant modifier l’adresse sur laquelle votre domaine OVH va pointer. Je vais profiter de cette section pour vous faire un bref rappel théorique sur les DNS.</p>
<p>Lorsque qu’un client, vous par exemple dans votre navigateur web, entre une adresse, une requête est envoyée sur le réseau, et va “demander” a des serveurs DNS l’adresse IP associée au domaine demandé, de sorte a pouvoir ensuite se diriger. Pour se faire, chaque domaine est connecté a au moins deux serveurs DNS, qui vont faire cette association, et seront dupliqués sur d’autres serveurs DNS plus proches du client. Ces serveurs DNS contiennent des zones DNS, dans lesquels on définit des enregistrements DNS (DNS records), c’est a dire des associations nom => ip ou autres selon le type de champ. Ce mécanisme introduit un “temps de propagation”, le temps que les serveurs DNS se mettent a jour.</p>
<p>Rendons nous maintenant sur le <a href="https://www.ovh.com/managerv3/">manager OVH v3</a> pour associer theocrite.eu avec 178.32.167.243. Pour ce faire, il faut ce rendre dans l’administration de votre domaine, puis dans la gestion des DNS et de l’hébergement, puis en fin dans la zone DNS ou nous éditerons le/les enregistrements concernés.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/11.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/11.png" alt="OVH domain management" /></a></p>
<p>Nous allons particulièrement nous intéresser a la zone DNS, mais nous reviendrons sur les serveurs DNS plus tard, donc garder bien cette section en tete.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/12.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/12.png" alt="OVH hosting and dns management" /></a></p>
<p>Nous allons spécifiquement regarder les enregistrements A et CNAME pour le domaine racine et le le sous domaine www. Un enregistrement A fait le lien entre le nom de domaine et une adresse IPV4. Un enregistrement AAA devra aussi être utilisé si vous désirez rendre votre site accessible en IPV6. Un enregistrement CNAME pour sa part fait le lien entre un domaine et un autre domaine. Ici nous utilisons un A pour le domaine racine, ce qui permet de faire pointer sur l’hébergement, et un CNAME pour s’assurer que www pointera toujours sur le domaine racine.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/13.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/13.png" alt="OVH domain dns records" /></a></p>
<p>En éditant l’enregistrement, et en changeant l’ancienne adresse IP par celle d’Olympe, nous allons donc faire pointer a la fois theocrite.eu et www.theocrite.eu sur Olympe. </p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/14.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/14.png" alt="OVH edit dns record" /></a></p>
<p>Rendez-vous maintenant sur votre domaine, sans les www. Vous trouverez une page Apache (c’est le nom du serveur web utilisé par Olympe) avec un dossier www a l’intérieur.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/15.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/15.png" alt="Apache on Olympe" /></a></p>
<p>Allez ensuite sur votre domaine avec les www, et constatez que la meme page s’affiche.</p>
<p>Nous allons maintenant utiliser Filezilla a nouveau, pour charger vos fichiers sur l’hébergement. Dans la section de droite (emplacement distant), entrez dans le dossier www, puis déposez vos fichiers. Votre domaine avec ou sans www va maintenant afficher votre site.</p>
<p><a href="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/16.png"><img src="/images/posts/2014-05-10-heberger-un-site-gratuitement-ou-presque/16.png" alt="Filezilla - Upload on Olympe" /></a></p>
<p>Si vous naviguez sur votre adresse en .olympe.in, vous verrez cependant toujours la racine, et non pas les elements contenu dans www. Nous allons donc mettre en place une redirection en utilisant un fichier .htaccess. Je vous laisse chercher sur Google comment créer le fichier sous Windows, il n’y a aucune difficulté sous Linux ou Mac OS. Notre fichier htaccess sera uploadé a la racine de l’hébergement pour fonctionner avec votre adresse .olympe.in, mais aussi dans le dossier www. Il contiendra une redirection dans le cas ou le domaine demandé est different de votre domaine avec les www inclus.</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-apacheconf" data-lang="apacheconf"><span class="nb">RewriteEngine</span> <span class="k">On</span>
<span class="nb">RewriteCond</span> %{HTTP_HOST} !^www.theocrite.eu$
<span class="nb">RewriteRule</span> (.*)$ http://www.theocrite.eu/$1 [R=301,L]</code></pre></div>
<p>Vous pouvez ensuite consulter votre domaine avec ou sans www, ou encore aller sur votre site en .olympe.in, vous serez systématiquement redirigé sur www.</p>
<p>Vous pouvez vous arrêter la si vous le désirez, votre site est hébergé !</p>
<h2 id="amelioration--utiliser-un-cdn">Amelioration : utiliser un CDN</h2>
<p>Un CDN, content delivery network, est un réseau de serveurs qui va mettre en cache les fichiers statiques de votre site au plus proche de chez vos clients, déchargeant votre hébergeur (qui est gratuit et déja bien gentil), et réduisant les temps de chargements. Par ailleurs, en cas de problème avec le serveur de votre hébergeur (qui je vous rappelle n’a pas d’obligation de service), la version en cache du site sera servie.</p>
<p>Nous allons donc créer un compte chez CloudFlare, qui offre un CDN gratuit en souhaitant que vos projets réussissent et que vous achetiez les fonctions payantes.</p>
<p>Pour des raisons de temps, je finirais cette section plus tard dans la journée / le weekend, mais je vous publie deja ca pour les plus pressés :)</p>
<p>Désolé pour les fautes, je dois remettre les accents plus tard sur mon autre ordinateur (là je suis en qwerty), et finir la relecture !</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/tutoriels/heberger-un-site-gratuitement-ou-presque">Héberger un site gratuitement (ou presque)</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on May 10, 2014.</p>https://www.generation-pc.net/articles/mon-passage-chez-apple2012-10-19T19:46:47+02:002012-10-19T19:46:47+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Depuis le mois d’avril 2012, j’ai commencé à tester des produits Apple, en commençant par le Macbook Pro 13” (édition fin 2011), suivi du Nouvel Ipad (aussi appelé Ipad 3) et pour finir un Iphone 3GS d’occasion. Cet article contient un compte rendu de ces experiences.</p>
<p><img src="/images/posts/2012-10-19-mon-passage-chez-apple/01.png" alt="Logo Apple" /></p>
<p>Certain d’entre vous qui me connaissent bien savent que j’ai pendant très longtemps été opposé à l’achat de produits Apple du fait de leurs stratégies assez irrespectueuses, à la fois envers leurs fournisseurs mais aussi leurs clients (notamment avec des prix bien trop élevé par rapport aux performances proposées par leur matériel).</p>
<p>Cependant face aux critiques on ne peut plus élogieuses de <span style="cursor: help;" title="Mac Users = utilisateurs de Mac OsX, et donc par extension clients Apple">Mac Users</span> de mon entourage, et ayant été lâché par mon ordinateur portable Acer et l’ordinateur portable MSI de ma copine, j’ai donc décidé à la veille de partir en vacances de franchir le cap et d’acheter un Mac, plus précisément un Macbook Pro.</p>
<h2 id="le-macbook-pro-fin-2011">Le Macbook Pro fin 2011</h2>
<p>N’étant pas à fond dans les rumeurs concernant Apple, j’ai acheté mon ordinateur quelques semaines avant la sortie des nouveaux modèles. Il s’avère que c’était plutôt un coup de chance dans mon cas, car la nouvelle génération n’apportait pas d’amélioration intéressante sur l’entrée de gamme que j’ai pris, mais par contre la nouvelle version coûte 100€ plus cher.</p>
<p>Pour ceux qui seraient intéressés par l’achat d’un Mac, ne faites pas comme moi. J’ai acheté le Macbook Pro comptant, et je comptais le payer en chèque. Il se trouve que l’Apple Store où je suis allé (Lyon Part Dieu) ne prends pas les chèques, malgré le prix élevé de leurs produits. J’ai donc acheté mon Mac à la FNAC (ceux qui me connaissent comprendront l’ironie de la scène). Deuxième erreur lors de mon achat, je l’ai payé plein tarif… D’après mes amis acheteurs de Mac, ce n’est pas quelque chose qui se pratique : ayant encore une carte étudiant (alors que je n’étais plus vraiment étudiant à l’époque), j’aurais pu avoir 5% de réduction à l’Apple Store. Pour les non étudiants, acheter son Mac à la FNAC permet d’avoir 5% grâce à la <a href="http://www4.fnac.com/Adherents/choisir_carte.aspx">carte FNAC</a>. Par exemple aujourd’hui, un macbook pro premier prix : 1249,90€ - 5% = 1187.405 auquel on ajoute le prix de la carte (30€ normalement mais promo à 10€) et on supprime le bon d’achat (10€ pour 100€ dépensés) = 1097.405€ soit environ 150€ de réduction ce qui n’est pas négligeable.</p>
<p><img src="/images/posts/2012-10-19-mon-passage-chez-apple/02.jpg" alt="Apple Macbook Pro" /></p>
<p>Un fois le matériel acheté vient l’euphorie. Je dois avouer que la sortie du carton est un grand moment, Apple dispose tout de même d’une finition exceptionnelle en terme de matériel. Un petit moment de rigolade quand même à la vue des petits autocollants représentant le logo d’Apple, que tout bon fan pourrait s’empresser de coller quelque part… Personnellement je peux vous les passer, je n’ai pas trouvé l’emplacement idéal pour les fixer pour le moment. Noter la plus grosse valeur ajoutée du Macbook en mon sens : le chargeur aimanté qui évite de casser la connectique lorsque l’on ne fait pas attention.</p>
<p>Après quelques mois d’utilisations (ou quelques semaines car je m’énerve assez vite), plusieurs problèmes apparaissent : il semblerait que je ne sois pas assez formaté à la façon de penser de chez Apple…</p>
<ul>
<li>Apple mets un serveur Apache par défaut, mais la configuration de celui-ci n’est pas classique, et le changer peut provoquer quelques bugs.</li>
<li>Venant d’Ubuntu, j’étais habitué à une vraie logithèque… Le Mac App Store ressemble un peu à une blague face à celui d’Ubuntu, mais il s’enrichie de jours en jours (beaucoup de logiciels payants ceci dit)</li>
<li>Il n’est pas possible de parametrer grand chose</li>
<li>J’ai été obligé d’utiliser un logiciel (PDA.Net) pour partager la connexion en USB entre mon téléphone de l’époque (HTC Hero) et le Macbook.</li>
<li>La soit disant superbe qualité de l’écran est effective par faible luminosité, mais on ne voit plus rien dès qu’un rayon de soleil croise l’écran…</li>
<li>Dernier et plus grave point : mon Mac souffrait de gros ralentissements et de périodes où je ne pouvais même plus l’utiliser… Je détaillerais les causes plus loin.</li>
</ul>
<p>Voilà donc mes griefs. Je demandes alors à mes amis si ils voient pourquoi j’ai des problèmes avec mon Macbook. La réponse est sans appel : va voir à l’Apple Store, ils regarderont… Mais j’ai besoin de mon ordi tout le temps donc je le garde avec moi. Il s’est avéré que je tournais généralement avec 5Go de swap (mémoire temporaire un peu comme de la ram mais sur le disque dur, plus lente). J’ai donc changé les 4go de ram par défaut par 16go acheté sur le site de crucial et tout va bien maintenant, c’est même agréable à utiliser.</p>
<p>Je notais par ailleurs que le Mac App Store n’était pas formidable, je tiens tout de même à préciser qu’un grand nombre de développeurs s’intéressent actuellement à Mac OsX, et j’ai réussi à trouver tous les logiciels dont j’ai besoin (ceux que j’utilisais ou des équivalents).</p>
<p>Résultat : j’aime finalement bien mon Macbook Pro, j’arrive à faire ce que j’ai envie avec maintenant que je rentre un peu plus dans le cadre Apple (je ne veux plus changer le style des barres…), et j’adore l’autonomie et la finition.</p>
<h2 id="du-mackbook-pro--lipad">Du Mackbook Pro à l’Ipad</h2>
<p><img src="/images/posts/2012-10-19-mon-passage-chez-apple/03.png" alt="Publicité : l'Ipad résolutionnaire" /></p>
<p>Toujours dans une démarche de test, j’ai décider de prendre un Nouvel Ipad (alias Ipad 3). Je n’ai bien sûr pas pu m’extasier sur l’écran révolutionnaire (résolutionnaire comme dirait leur service marketing) du fait que je ne vois pas les détails à de tels niveaux, comme pas mal d’autres gens je pense (hors personnes hautement marqués par la pub comme sur <a href="http://www.youtube.com/watch?v=rdIWKytq_q4">cette vidéo</a>).</p>
<p>Côté achat, rien à dire, j’ai cette fois ci choisi de le prendre directement sur l’Apple Store, livraison rapide, bon état du colis… J’ai même reçu à nouveau de petits autocollants pommes ! J’aurais cependant apprécié d’avoir une paire d’écouteur avec l’Ipad, là ça fait un peu radin la boite contenant juste l’ipad et le chargeur.</p>
<p>La grosse difficulté dans mon foyer actuel face à l’Ipad provient principalement du fait qu’on est équipé en ordinateurs portables et en smartphone, la tablette venant donc en intermédiaire relativement inutile… Je note aussi que je l’ai mis à jour sur iOS 6 quelques jours après l’avoir reçu, et donc l’application de cartes par défaut est Apple Carte (maps) qui est loin d’être au point.</p>
<p>J’ai acheté un exemplaire du Lonely Planet (Scotland) et j’avoue que la lecture est particulièrement agréable. Le partage de musique et de films du Macbook à l’Ipad est aussi très bien, automatique et particulièrement réussie. Par contre gros bémol lorsque l’on sort de l’environnement Apple, je n’ai pas encore réussi à lire les fichiers audios et vidéos contenues sur mon NAS (DNS-320 de Dlink).</p>
<p>J’ai aussi rédigé un article sur ce blog hier soir à l’aide de l’application Wordpress pour Ipad et j’ai trouvé ça assez pratique.</p>
<p>Reste encore à trouver des usages concrets, mais de jours en jours je découvre des façons sympathiques de l’utiliser.</p>
<h2 id="loccasion--liphone-doccasion-">L’occasion : l’iPhone d’occasion !</h2>
<p><img src="/images/posts/2012-10-19-mon-passage-chez-apple/04.jpg" alt="Iphone 3GS" /></p>
<p>Suite à ces deux premiers achats, et en pleine periode où la réactivité et l’autonomie de mon HTC Hero laisse à désirer, un de mes amis m’annonce qu’il vends son Iphone 3GS d’occasion, celui-ci ayant été récemment changé par un reconditionné dans un Apple Store.</p>
<p>Je vais essayer de faire court : l’Iphone est très bien après avoir prit le temps de s’y habituer. Venant d’Android, je trouve que les meilleurs fonctionnalités sont en gros celles copiées par Apple sur leur concurrent qui est désormais légèrement en avance.</p>
<p>J’apprecie encore une fois l’autonomie de l’appareil, que j’arrive à garder presque deux jours. De plus, l’appareil reste très fluide, bien que le système soit récent, alors que j’avais sentis plus de réticence sur mon HTC Hero face aux dernières versions d’Android.</p>
<p>Je pense que je me serais sentis extrêmement enfermé si j’étais passé directement sur Iphone, mais au final, après avoir testé les différentes plateformes d’Apple, j’avoue que c’est simple, fermé mais agréable.</p>
<h2 id="mes-conclusions">Mes conclusions</h2>
<p>Apple propose réellement des systèmes fermés, mais contrôlés, ce qui explique le succès auprès du grand public. Une bonne autonomie sur tous les appareils vient en argument supplémentaire. Bien entendu je regrette la fermeture, les problèmes d’interfaçage avec tout appareil non Apple…</p>
<p>En tant qu’informaticien, je reste cependant plus convaincu par Linux, et je retourne régulièrement à mes distributions sur mes serveurs, qui me servent maintenant aussi de plateforme de développement. Cette experience m’aura tout de même permit de découvrir le système et de mieux appréhender ses intérêts, tout comme je l’ai fait pour Windows et Linux, pour Windows Mobile et Androïd.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/articles/mon-passage-chez-apple">Mon passage chez Apple</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on October 19, 2012.</p>https://www.generation-pc.net/articles/phpcloud-la-plateforme-php-de-zend2012-10-19T17:36:23+02:002012-10-19T17:36:23+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p><a href="/images/posts/2012-10-19-phpcloud-la-plateforme-php-de-zend/01.png"><img src="/images/posts/2012-10-19-phpcloud-la-plateforme-php-de-zend/01.png" alt="Logo Zend Technologies" /></a></p>
<p>Vous désirez développer et déployer rapidement vos applications PHP ? Pourquoi ne pas utiliser la plateforme prévue à cette effet par l’entreprise qui est à l’origine de l’industrialisation de PHP.</p>
<p>Chose promise, chose due, voici donc un article sur PhpCloud. Pour ceux qui comprennent suffisamment bien l’anglais, je vous propose la vidéo de présentation officielle.</p>
<iframe width="560" height="315" src="//www.youtube.com/embed/LOZPibbli9Q" frameborder="0"></iframe>
<p>Du coup, qu’est-ce que c’est PhpCloud ? En fait c’est simplement une sorte d’hébergement cloud sur du Zend Server, gratuit pour 2 machines virtuelles par compte pour le moment.</p>
<p>L’avantage c’est que ça permet au développeur d’utiliser des machines virtuelles préinstallées, propres et sécurisées, avec tout ce qui va avec, dépot Git et tout.</p>
<p>Les principaux inconvénients sont le temps de prise en main (installation de clés ssh, utilisation de git…) et la mise en ligne de code sur une plateforme tierce (ça reste Zend, en général ils vont pas venir lire nos codes…).</p>
<p>D’autres plateformes de ce genre sont disponibles, comme par exemple <a href="https://openshift.redhat.com/app/">RedHat OpenShift</a>, pour accélérer le démarrage de vos développements.</p>
<p>Et vous quelles plateformes utilisez-vous ?</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/articles/phpcloud-la-plateforme-php-de-zend">PhpCloud : la plateforme PHP de Zend</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on October 19, 2012.</p>https://www.generation-pc.net/articles/zf2-premieres-impressions2012-10-19T01:41:18+02:002012-10-19T01:41:18+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p><a href="/images/posts/2012-10-19-zf2-premieres-impressions/01.png"><img src="/images/posts/2012-10-19-zf2-premieres-impressions/01.png" alt="Zend Framework 2 Logo" /></a></p>
<p>Attendu depuis de nombreux mois, la nouvelle version de Zend Framework est sortie le 7 septembre 2012. Je n’ai pas eu le temps de m’y intéresser jusque là, mais je tiens à vous donner mon avis après quelques jours de tests…</p>
<p>Voilà bien longtemps maintenant que je n’ai pas écrit de post sur ce blog… Ça ne veut bien entendu pas dire que je vais le délaisser, mais simplement que je n’ai pas eu énormément de temps ces derniers mois. Comme certains d’entre vous le savent, <a href="http://framework.zend.com/">Zend Framework</a> est sorti dans sa version 2 il y a déjà plusieurs semaines, après plusieurs mois de versions bêta publiques. Pour ceux qui ne le savaient pas encore, ou qui se demandent simplement de quoi je parle, je vous laisse faire quelques recherches sur ce sujet car je n’ai malheureusement pas le temps d’en écrire plus.</p>
<p>Pour ma part, j’ai décidé d’utiliser Zend Framework 2 en utilisant le <a href="http://zf2.readthedocs.org/en/latest/index.html#userguide">QuickStart</a> officiel (réalisé sur la base du tutoriel de <a href="http://akrabat.com/">Rob Allen alias Akrabat</a>, référence pour <a href="http://akrabat.com/zend-framework-tutorial/">débuter sur ZF1</a>, dans sa version réécrite pour la version 2 du Framework). Pour ne pas perdre trop de temps avec la mise en place de mon environnement de test, j’ai aussi choisi d’utiliser <a href="http://www.phpcloud.com">phpcloud</a>, hébergement en ligne de machines virtuelles spécifiquement prévu pour le développement d’application sous Zend Framework. Je pense prendre le temps un peu plus tard d’exprimer mon avis sur cette plateforme.</p>
<p>Côté éditeur, j’ai bien entendu choisi d’utiliser <a href="http://netbeans.org/">Netbeans</a> (version php) car c’est mon éditeur favori mais aussi celui sur lequel j’ai eu jusqu’ici le plus d’expériences en développement de sites et applications ZF1.</p>
<p>Mes premières impressions sont donc les suivantes :</p>
<ul>
<li>malgré un très bon <a href="http://zf2.readthedocs.org/en/latest/index.html#userguide">QuickStart</a> comprenant les fonctions de bases et notamment la création d’un module, il devient assez vite difficile de trouver de bonnes ressources en ligne.</li>
<li>la prise en mains est extrêmement différente de ce que l’on pouvait trouver en ZF1.</li>
<li>l’utilisation des namespaces rend le code beaucoup plus lisible et sympathique, et permettra probablement de limiter réellement le nombre de caractères par ligne, pratique souvent recommandée mais difficilement applicable en ZF1 lorsque des modèles pouvaient s’appeler Module_Models_DbTable_ModelName… (Noms qui à l’époque m’ont ceci dit fait adopter le Framework).</li>
<li>on trouve déjà quelques modules assez intéressant tels que ZfcUser qui permet en quelques secondes de mettre en place une gestion assez complète des utilisateurs.</li>
</ul>
<p>Pour ma part, je retrouve donc toute la flexibilité que j’avais adoré dans ZF1, je regrette cependant le manque de ressources hors lecture du code du Framework, mais celui-ci provient probablement de la jeunesse du Framework.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/articles/zf2-premieres-impressions">ZF2, premières impressions !</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on October 19, 2012.</p>https://www.generation-pc.net/articles/zf-2-0-debarque-dans-nos-developpements2011-10-18T23:39:34+02:002011-10-18T23:39:34+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Quelques mois après la sortie du framework PHP Symfony dans sa version 2, et après avoir ouvert sa communication pour que les membres de la communauté ne se lassent pas d’attendre, Zend a enfin annoncé une première version beta lors de sa conférence annuelle.</p>
<p>D’après certaines sources, cette nouvelle version n’est cependant pas utilisable en production, mais passe en phase beta pour augmenter le nombre de testeurs, mais aussi pour des raisons de communication pour ne pas prendre trop de retard par rapport à ses concurrents (rappellons que Symfony, son concurrent direct, est disponible en version finale depuis la fin de l’été).</p>
<h2 id="les-principaux-changements"> Les principaux changements</h2>
<p>Bon, je vais pas copier le changelog… Un simple lien vers le post sur le forum de la communauté francophone du framework suffira : <a href="http://www.z-f.fr/forum/viewtopic.php?id=7025">Sortie de la beta 1 de ZF 2</a>.</p>
<p>Moins classe, mais tout aussi efficace, on peut noter que cette nouvelle version (parlons au moins de la partie MVC qui semble être la plus aboutie) est nettement plus rapide à l’execution que la première version sans pour autant amputer des fonctionnalités.</p>
<p>Cette version est néanmoins publique dans une optique de tests et d’évolution, et n’a pas vocation à être utilisée en production.</p>
<h2 id="o-trouver-de-la-documentation-">Où trouver de la documentation ?</h2>
<p>La documentation est malheureusement le gros point faible de cette beta, dont les versions précédentes (alphas donc) étaient utilisées uniquement par un cercle d’initiés.</p>
<p>Par chance, ou plutôt grâce au travail remarquable de certains membres de la communauté, nous disposons d’ores et déjà d’une version actualisée du tutoriel de Rob Allen (Akrabat) : <a href="http://akrabat.com/getting-started-with-zend-framework-2/">Getting started with Zend Framework 2</a> (Débuter avec Zend Framework 2). Ce tutoriel ne dispose pas pour le moment de traduction en français.</p>
<p>On peut aussi au hasard d’un détour sur GitHub trouver un <a href="https://github.com/EvanDotPro/ZendSkeletonApplication">squelette d’application</a> qui peut servir d’objet d’étude et de base à un projet.</p>
<p>Pour finir, une <a href="http://packages.zendframework.com/docs/latest/manual/en/">esquisse de documentation</a> est proposée par Zend.</p>
<p>Quel est le dénominateur commun à toutes ces ressources ? Elles sont en anglais, et il s’avère que pour certains membres de la communauté francophone, ce n’est pas simple à comprendre…</p>
<p>Je vous propose de partager en commentaire vos ressources, et si vous ne comprenez pas l’anglais, n’hésitez pas à me demander une traduction, même si je ne suis pas bilingue je ferais de mon mieux !</p>
<h2 id="o-trouver-de-laide-">Où trouver de l’aide ?</h2>
<p>Pour l’aide, ça reste classique :</p>
<ul>
<li>la communauté francophone</li>
<li>la mailling list des développeurs</li>
<li>les blogs des développeurs</li>
<li>et bien entendu mon blog !</li>
</ul>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/articles/zf-2-0-debarque-dans-nos-developpements">ZF 2.0 débarque dans nos développements ?</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on October 18, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/tutoriels/zend-framework-chez-ovh2011-09-03T10:57:17+02:002011-09-03T10:57:17+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/01.jpg"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/01.jpg" alt="Logo OVH" /></a></p>
<p>Faire un projet Zend Framework c’est super, mais quand on débute et que l’on ne connait pas du tout les configurations des logiciels serveurs, ça peut vite devenir compliqué…</p>
<p>Ma proposition : prendre un compte pro chez OVH qui servira :</p>
<ol>
<li>à héberger le projet en développement</li>
<li>à héberger le serveur svn</li>
<li>à héberger le projet en production</li>
</ol>
<p>Notez que d’autres hébergeurs qu’OVH proposent probablement des interfaces similaires, mais pour ma part, je n’ai jamais été déçu par leurs prestations. On peut toute fois noter que l’hébergement mutualisé pro chez OVH vous permet de disposer d’un accès SSH, et du logiciel serveur subversion.</p>
<p>L’hébergement pro d’OVH vous coutera 71,64€ TTC par an, ce qui le place à un niveau très correct parmi les offres de leurs concurrents.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/02.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/02.png" alt="Hébergement mutualisé pro OVH" /></a></p>
<p>Je vous laisse le lien vers la page de l’offre : <a href="http://www.ovh.com/fr/hebergement_mutualise/hebergement_web_mutualise_pro_100go_trafic_illimite.xml">Hébergement mutualisé pro chez OVH</a>.</p>
<p>Une fois le processus de commande finalisé et le pack livré par OVH, vous aurez accès à votre <a href="https://www.ovh.com/managerv3/">interface de gestion OVH</a>. Là, vous trouverez la liste de tous vos noms de domaines et hébergements, ainsi que vos éventuels autres services.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/03.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/03.png" alt="OVH - Accueil du manager" /></a></p>
<p>En haut de la page, on trouve une liste déroulante dans laquelle il est possible de choisir l’un de nos noms de domaines, ce qui nous amène sur la page de gestion du domaine et des services associés.</p>
<p>Une interface similaire se trouve sur la gauche de la page, sous forme de liste plus classique.</p>
<p>Choisissons le domaine qui nous intéresse (celui qui est associé à l’hébergement pro).</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/04.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/04.png" alt="OVH - Manager : gestion d'un hébergement pro" /></a></p>
<p>On retrouve toujours notre liste de produits dans le header de la page. Sur la gauche, cliquez sur hébergement.</p>
<p>Cliquez sur l’icône “sous domaine”, car nous allons commencer par ajouter le sous domaine <code>dev.votrenom.com</code> pour la plateforme de développement.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/05.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/05.png" alt="OVH - Gestion des sous domaines sur mutualisé pro" /></a></p>
<p>Après avoir cliqué sur “Création”, il vous faudra remplir un formulaire dont les champs correspondent aux informations minimales requises dans les virtualhosts Apache.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/06.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/06.png" alt="OVH - Ajout de sous domaine - Mutualisé pro" /></a></p>
<p>Il faut bien entendu remplir les différents champs avec les valeurs adéquates. Pour l’environnement de développement, nous allons donc mettre comme sous domaine le nom dev, qui pointeras sur <code>/htdocs/dev/public/</code>, et qui gère l’ipv6.</p>
<p>Les fichiers du projet se trouveront donc dans le dossier <code>/htdocs/dev/</code>. Une fois validé, il vous faudra attendre 24h pour que tout soit fonctionnel.</p>
<p>Passons ensuite à l’environnement de production. OVH, propose un hébergement de base qui pointe sur /www, hors nous avons un site pour lequel le virtualhost devrait pointer sur <code>/public</code>… C’est donc un premier problème. Le second problème est que notre site en dev se trouve dans <code>/htdocs</code>, et la logique voudrait que notre site en production de trouve donc dans <code>/htdocs/prod/</code>.</p>
<p>Connectez vous alors en ssh au serveur d’hébergement (sous Windows, utilisez Putty, sur les autres systèmes utilisez votre console). Connectez vous avec les adresse et mot de passe de votre compte FTP.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/07.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/07.png" alt="Putty - Connexion au compte OVH Mutualisé" /></a></p>
<p>Lorsque l’on vous demande votre mot de passe, si vous n’êtes pas habitué à l’environnement Linux/Unix, ne vous inquiétez pas, rien ne s’affiche lorsque vous tapez le mot de passe, mais les caractères sur lesquels vous appuyez sont bien pris en compte.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/08.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/08.png" alt="OVH - SSH mutualisé - Login" /></a></p>
<p>Un message d’avertissement s’affiche ensuite, vous indiquant qu’il est possible de vous connecter à une autre adresse dédiée au SSH, plutôt que de passer par le serveur FTP.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/09.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/09.png" alt="OVH - SSH Mutualisé - Avertissement connexion sur FTP" /></a></p>
<p>Là, à l’aide de la commande ls, vous devriez avoir un fichier <code>LISEZ-MOI</code>, un répertoire <code>www</code> et un répertoire <code>cgi-bin</code>.</p>
<p>Commençons par ajouter l’environnement de dev, avec la commande suivante : <code>mkdir -p htdocs/dev/public</code></p>
<p>Passons ensuite à l’environnement de production, avec la commande : <code>mkdir -p htdocs/prod/public</code></p>
<p>Reste donc toujours le problème du dossier www… Sur les systèmes de type Unix, donc sur la plateforme d’hébergement mutualisé, il existe un mécanisme appelé lien symbolique, qui permet de faire qu’un fichier n’en soit pas vraiment un, mais juste un lien vers un autre dossier. C’est ce que nous allons utiliser ici.</p>
<p>Dans un premier temps, il va falloir supprimer le dossier <code>www</code> : <code>rm -r www</code>.</p>
<p>A ce moment là, si on essaye d’accéder au site, une erreur 404 s’affichera.</p>
<blockquote>
<p>Not Found</p>
<p>The requested URL / was not found on this server.</p>
</blockquote>
<p>Puis il faut mettre en place le lien symbolique en question : <code>ln -s htdocs/prod/public/ www</code>.</p>
<p>Ainsi, <code>/www</code> pointera sur <code>/htdocs/prod/public</code> et permettra donc d’utiliser le virtualhost par défaut du compte OVH pour la plateforme de production.</p>
<p>Bon, on sait où vont aller les fichiers du site pour le développement, pour la production, et on a l’organisation suivante sur le serveur :</p>
<ul>
<li>/
<ul>
<li>www (pointe sur htdocs/prod/public)
<ul>
<li>htdocs</li>
</ul>
</li>
<li>dev
<ul>
<li>public</li>
</ul>
</li>
<li>prod
<ul>
<li>public</li>
</ul>
</li>
<li>cgi-bin (facultatif)</li>
<li>LISEZ-MOI (facultatif)</li>
</ul>
</li>
</ul>
<p>Dernière étape de la mise en place de notre architecture, <a href="http://guide.ovh.com/SVNMutu">mettre en place le serveur SVN</a>. On va donc rester sur notre console ssh, et créer un nouveau dossier, par exemple “svn”, si on est pas très créatif : <code>mkdir svn</code>.</p>
<p>Puis entrez la commande suivante en changeant depot par le nom que vous désirez donner à votre dépôt (souvent le nom du projet) : <code>svnadmin create svn/depot</code>.</p>
<p>Reste à mettre en place une clé SSH autorisée par ordinateur voulant se connecter au dépôt. Cette étape se fait donc sur l’ordinateur client.</p>
<p>Sous Linux ou Mac Os avec Open SSH : <code>ssh-keygen -t dsa</code>.</p>
<p>Récupérez la ligne qui se trouve par défault dans le fichier <code>.ssh/id_dsa.pub</code>.</p>
<p>Vous trouverez la clef qui est divisée en trois chaînes de caractères : le type, la clé et un commentaire.</p>
<p>Sous Windows :</p>
<p>Téléchargez et exécutez <a href="http://the.earth.li/~sgtatham/putty/latest/x86/puttygen.exe">Putty KeyGen</a>.</p>
<p>Choisissez bien DSA en bas, puis générez les clés et sauvez les.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/10.png"><img src="/images/posts/2011-09-03-zend-framework-chez-ovh/10.png" alt="OVH Mutualisé - SVN - Création de clés sous Windows" /></a></p>
<p>Et voilà !</p>
<p>Il ne nous reste plus qu’à mettre la clé publique sur le serveur. Dans la console SSH, entrez les commandes suivantes :</p>
<p><code>mkdir .ssh</code></p>
<p><code>vi .ssh/authorized_keys2</code></p>
<p>Et mettre dans ce fichier la ligne suivante, puis la clé dsa publique.</p>
<p><code>command="/usr/bin/svnserve --root=/homez.XXX/loginFTP/svn --tunnel --tunnel-user=marc",no-port-forwarding,no-agent-forwarding,no-X11-forwarding,no-pty</code></p>
<p>Remplacez bien entendu <code>/homez.XXX</code> par la valeur rendue par la commande <code>pwd</code>, loginFTP par votre login FTP effectif, et l’utilisateur par la valeur de votre choix.</p>
<p>Puis <code>chmod 700 .ssh</code>.</p>
<p>Une fois le projet mis en ligne sur le serveur SVN, vous n’aurez plus qu’à faire un svn checkout dans <code>htdocs/prod/</code> pour avoir la version courante du site, puis un svn up à chaque fois que c’est requis !</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/tutoriels/zend-framework-chez-ovh">Zend Framework chez OVH</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on September 03, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/articles/outils-et-liens-pour-un-projet-zend-framework2011-09-02T20:01:36+02:002011-09-02T20:01:36+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>J’entends une question dans le public…</p>
<blockquote>
<p>Hey Thomas, t’utilise quoi quand tu commences un projet avec <a href="http://framework.zend.com/">Zend Framework</a> ? Je peux créer un site complet sans aucun logiciel payant ?</p>
</blockquote>
<p>Bon alors, procédons dans l’ordre. Déjà, si vous développez le projet en local, il vous faudra un serveur *AMP, c’est à dire la combinaison des logiciels serveurs Apache 2, MySql et PHP. L’étoile correspond à la première lettre de votre système d’exploitation (M pour Mac Os, W pour Microsoft Windows et L pour Linux).</p>
<p>Je vous laisse voir ce qui vous correspond, mais je vous propose tout de même <a href="http://www.zend.com/en/products/server-ce/downloads">Zend Server community edition</a>, <a href="http://www.wampserver.com/">Wamp</a>, <a href="http://www.apachefriends.org/fr/xampp.html">Xampp</a>, <a href="http://www.easyphp.org/fr/">EasyPHP</a>…</p>
<p>Pour ceux qui ne veulent pas se compliquer la vie avec le local, il est possible de développer en synchronisant ses sources sur le serveur directement. Je reviendrais sur ce point un peu plus tard.</p>
<p>Ensuite, il va nous falloir un IDE, je propose donc d’utiliser <a href="http://www.netbeans.com/downloads/index.html">Netbeans</a>, qui nous permettra par la suite d’avoir la “Remote Synchronization” dont je vous parlais, mais aussi l’intégration de logiciels de gestion de versions (notamment SVN, GIT, CVS et Mercurial), ainsi que le support des framework PHP <a href="http://framework.zend.com/">Zend</a>, Symfony et bien d’autres (auto complétion, intégration des outils en ligne de commande…).</p>
<p>En fait, concernant PHP et les environnements, il nous suffira d’utiliser ça. Bien entendu, il va nous falloir un serveur SVN ou GIT, ainsi qu’un serveur FTP/SFTP sur lesquels mettre le projet. On peut aussi envisager d’utiliser <a href="http://www.phpdoc.org/">PHPDocumentator</a> (documentation de projet), <a href="https://github.com/sebastianbergmann/phpunit/">PHPUnit</a> (tests unitaires)…</p>
<p>Le reste concernera principalement le design et le côté client.</p>
<p>Ici il nous faudra un peu de javascript pour dynamiser le tout… Pourquoi pas <a href="http://jquery.com/">jQuery</a>, avec certains plugins comme <a href="http://jqueryui.com/">jQuery UI</a> et <a href="http://flowplayer.org/tools/">jQuery tools</a> (sans oublier un grand nombre d’autres extensions intéressantes que vous trouverez au besoin à l’aide de votre moteur de recherche favori).</p>
<p>Passons ensuite sur le site de <a href="http://twitter.github.com/bootstrap/">Twitter Bootstrap</a>, qui vous permettra de trouver une UI de base, permettant de monter son design en quelques minutes, tout en ayant quelque chose de très propre.</p>
<p>Pour générer la structure de votre layout, il serait aussi dommage de laisser de côté le <a href="http://www.alsacreations.com/page/squelettor/">squelettor d’Alsacreations</a>, tout en profitant de votre visite sur le site pour <a href="http://www.alsacreations.com/page/schnapsum/">générer des Lorem Ipsum en alsacien</a>, ce qui à l’avantage de changer un peu, mais surtout de proposer différents types de contenu HTML, du paragraphe au formulaire.</p>
<p>Quelques bons liens sur les blogs d’<a href="http://akrabat.com/">Akrabat</a> et d’<a href="http://blog.aurevec.be/">Aurevec</a> pour les débutants, et je pense avoir fait le tour.</p>
<p>Petite astuce finale : n’hésitez pas à fréquenter des sites comme <a href="http://gnome-look.org/">Gnome Look</a> (section icônes et background notamment) où il est possible de trouver un grand nombre de ressources intéressante sous licence libre. Faites toutefois bien attention aux autorisations définies dans la licence, il arrive que ce soit pour un usage non commercial.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/articles/outils-et-liens-pour-un-projet-zend-framework">Outils et liens pour un projet Zend Framework</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on September 02, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/tutoriels/outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative2011-08-31T23:28:17+02:002011-08-31T23:28:17+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Problème, dans le cadre d’une utilisation collaborative d’une même adresse email, dont la solution peut paraître simple à nombre d’entre nous informaticiens, mais non moins obscur pour les néophytes :</p>
<blockquote>
<p>Nous avons une adresse email, qui fonctionne, sur laquelle les messages entrant doivent être consultable par tous collaborateurs.</p>
</blockquote>
<p>Ah, ça commence mal, dans une telle situation, il aurait fallu l’intervention d’un technicien compétent qui aurait mis en place une liste de diffusion, et non pas une adresse email, de sorte à ce que les mails soient transmis à qui de droit.</p>
<blockquote>
<p>Le problème de la solution en place est que lorsque j’ouvre Outlook en arrivant le matin, les mails sont récupérés sur mon poste et supprimés du serveur. Les autres collaborateurs n’y ont donc pas accès.</p>
</blockquote>
<p>Bien, pour cette problématique précise, une solution existe !</p>
<p>Ici, le tutoriel est basé sur Microsoft Outlook, la version complète intégrée à la suite Microsoft Office, dans sa version 2010, mais le principe est le même pour les versions plus anciennes, et aussi pour les versions d’Outlook Express (et probablement Windows Live Mail).</p>
<p>Le principe est simple : il faut que les mails restent sur le serveur, pour un nombre de jour donné, à partir du premier téléchargement.</p>
<p>Premièrement, il faut se rendre dans les paramètres de compte. Cliquer sur “Fichier” en haut à gauche. La page suivante s’ouvre :</p>
<p><a href="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/01.png"><img src="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/01.png" alt="Outlook: informations sur le compte" /></a></p>
<p>Ici il faut choisir le compte que l’on veut paramétrer dans la zone entourée en bleu.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/02.png"><img src="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/02.png" alt="Outlook: Paramètres du compte" /></a></p>
<p>Une fois le compte sélectionné, cliquer sur paramètre du compte. Une liste déroulante comportant une seule option s’ouvrira, cliquer sur cette option (“Paramètres du compte”).</p>
<p>La fenêtre suivante va s’ouvrir. Effectuer un double clic sur l’adresse mail du compte à configurer dans la zone entourée en bleu.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/03.png"><img src="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/03.png" alt="Outlook: Paramètres, liste des comptes" /></a></p>
<p>Une autre fenêtre va s’ouvrir. Cette nouvelle fenêtre contient enfin les informations du compte. Ce tutoriel fait appel à des fonctions avancées, cliquer sur “Paramètres supplémentaires”.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/04.png"><img src="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/04.png" alt="Outlook: Paramètres supplémentaires de gestion de compte" /></a></p>
<p>Une fenêtre s’ouvre, c’est la dernière dont on aura besoin. En haut de cette fenêtre, choisir l’onglet “Options avancées”.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/05.png"><img src="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/05.png" alt="Outlook: Options avancées de gestion de compte" /></a></p>
<p>Nous voici maintenant sur la page contenant l’option désirée. Dans la section remise, plusieurs choix sont disponibles.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/06.png"><img src="/images/posts/2011-08-31-outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative/06.png" alt="Outlook: Laisser un exemplaire des messages sur le serveur" /></a></p>
<p>Ici il faut cocher “Laisser un exemplaire des messages sur le serveur.”.</p>
<p>Le problème de ne choisir que cette option est que les comptes mails ne disposent que d’une taille limitée, et ne jamais supprimer les emails peut provoquer une surcharge de la boite mail, et lorsque la boite est pleine, tout nouveau mail sera refusé.</p>
<p>Il est donc possible de choisir de supprimer les mails du compte au bout d’un certain nombre de jours, déterminé approximativement par “taille de la boite > nombre de mails approximatif * taille moyenne des mails”, en visant assez large tout de même.</p>
<p>L’autre solution consiste à supprimer les mails du serveur lorsqu’ils sont supprimés des éléments supprimés (vidage de la corbeille outlook). Cette solution ne garanti pas que tous les utilisateurs du compte aient accès à tous les mails, par contre il a l’avantage lorsqu’un mail est traité et supprimé par une personne de ne pas dupliquer ce travail de suppression à tous les collaborateurs. Par contre il faut toujours envisager le cas d’un collaborateur maniaque de la suppression, qui pourrait faire perdre des emails.</p>
<p>Il ne faut pas non plus utiliser la deuxième option seule, car beaucoup d’emails sont conservés sur les Outlook des collaborateurs, et la boite mail sur le serveur sera surchargée rapidement.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/tutoriels/outlook-laisser-les-mails-sur-le-serveur-utilisation-collaborative">Outlook : laisser les mails sur le serveur</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on August 31, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/articles/php-5-3-fete-ses-deux-ans-serez-vous-de-la-fete2011-06-25T10:57:44+02:002011-06-25T10:57:44+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p><img src="/images/posts/2011-06-25-php-5-3-fete-ses-deux-ans-serez-vous-de-la-fete/01.png" alt="Logo AFUP" /></p>
<p>A l’occasion des deux ans de PHP 5.3, les membres de l’<a href="http://www.afup.org/pages/site/">AFUP, Association Française des Utilisateurs de PHP</a>, ont décidé de mettre en place des rencontres dans la plupart des grandes agglomérations de notre beau pays.</p>
<p>Ces rencontres auront donc lieu le jeudi 30 juin 2011, et se dérouleront sous forme d’apéritifs et plus si affinité.</p>
<p><img src="/images/posts/2011-06-25-php-5-3-fete-ses-deux-ans-serez-vous-de-la-fete/02.png" alt="Logo PHP" /></p>
<p>Pour ma part, je n’ai encore jamais participé à une rencontre de ce genre, et je désire me mettre en relation avec des personnes qui partagent le même intérêt que moi pour PHP, je serais donc à l’<a href="http://aperophp.net/apero.php?id=862">apéro PHP de Lille</a>.</p>
<p>Retrouvez la liste des apéros prévus sur le site dédié : <a href="http://aperophp.net/">aperophp.net</a>.</p>
<p><img src="/images/posts/2011-06-25-php-5-3-fete-ses-deux-ans-serez-vous-de-la-fete/03.jpg" alt="Logo Apero PHP" /></p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/articles/php-5-3-fete-ses-deux-ans-serez-vous-de-la-fete">PHP 5.3 fête ses deux ans, serez vous de la fête ?</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on June 25, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/cin%C3%A9ma/une-comedie-familiale-leleve-ducobu2011-06-25T00:05:26+02:002011-06-25T00:05:26+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Retrouvez la <a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=179173.html">fiche du film l'élève Ducobu sur Allociné</a>.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-06-24-une-comedie-familiale-leleve-ducobu/01.jpg"><img src="/images/posts/2011-06-24-une-comedie-familiale-leleve-ducobu/01.jpg" alt="Affiche du film "L'élève Ducobu" /></a></p>
<p>Sortie évènement de la semaine, annoncée depuis un moment déjà à grand renfort de publicité, vous aurez la chance de pouvoir visionner ce film durant la semaine du cinéma.</p>
<p>Le plan marketing du film, assez impressionnant, laissait présager un film sympathique mais un peu creux, dans lequel on aurait trouvé les mêmes choses que dans la bande annonce… Mais ce n'est pas le cas !</p>
<p>Année record pour les comédies françaises, la salle, encore assez pleine, n'a pas cessé de rire.</p>
<p>Très bonne comédie familiale, accessible à tous quel que soit l'âge et les centres d'intérêts.</p>
<p>Que dire de plus, à part éventuellement une petite distinction pour <a href="http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=24795.html">Elie Semoun</a>, qui est très loin d'être dans ma liste d'acteurs favoris, mais qui joue particulièrement bien son rôle ici. Naturellement, je glisserais un petit mot sur le jeu des enfants, forcéments nombreux dans ce film bien que seuls quelques uns soient d'une importance cruciale, rôles qui sont tenus à merveille sans aucun faux pas restant après montage !</p>
<p>Production sympathique donc, qui se prête bien particulièrement bien à une soirée de fin de semaine, car le scénario est vraiment léger sur le fond mais humoristiquement très réussi.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/cin%C3%A9ma/une-comedie-familiale-leleve-ducobu">Une comédie familiale : l'élève Ducobu</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on June 25, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/cin%C3%A9ma/cinema-resume-des-episodes-precedents-22011-06-24T01:10:29+02:002011-06-24T01:10:29+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Chose promise, chose due ! J’ouvre une catégorie cinéma, c’est bien, mais maintenant il faut que je l’alimente…</p>
<h2 id="pirates-des-carabes--la-fontaine-de-jouvence">Pirates des Caraïbes : la Fontaine de Jouvence</h2>
<p><a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=139812.html">Informations détaillées sur Allociné</a>.</p>
<p>Bon film durant lequel on peut apprécier des très bonnes musiques. Le scénario et les dialogues sont fidèles à ce que l’on peut en attendre, après on aime ou pas, mais pour moi ça ne passe pas…</p>
<p>Amateurs de décors, costumes et musiques de film, n’hésitez pas à aller le voir. Pour les autres, il faudrait voir à ne pas payer la place trop cher, mais si c’est une soirée cinéma pour se détendre et se vider l’esprit, ce film est fait pour vous (l’intrigue ne vous fatiguera pas les neurones…).</p>
<h2 id="x-men--le-commencement">X-Men : Le commencement</h2>
<p><a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=140894.html">Informations détaillées sur Allociné</a>.</p>
<p>Sans être fan, j’ai apprécié le film. Mon herméticité à la science fiction ne jouant pas en sa faveur, je pense donc qu’il doit s’agir un bon film. Chargé en scénes d’actions improbables connectées à une réalité historique, il suit un scénario tout à fait bien ficelé.</p>
<p>Pour les amateurs de la série, il semblerait que les personnages soient bien repris, mais n’ayant pas suivi je ne peux en être garant.</p>
<p>Un bon film à voir entre potes un jour où on veut que ça bouge. Surtout, soyez attentif à la taille de la salle dans laquelle vous irez le voir… Grande salle avec un bon système de son et l’expérience sera parfaite !</p>
<h2 id="very-bad-trip-2">Very Bad Trip 2</h2>
<p><a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=147508.html">Informations détaillées sur Allociné</a>.</p>
<p>Digne suite du premier opus, je pensais honnêtement que ce ne serait qu’une vulgaire copie en changeant le lieu. Bonne surprise donc, d’autres aventures surviennent et on ne s’ennuit à aucun moment. La bande annonce bien que dévoilant un certain nombre d’atout du film ne vous en montre en fait qu’un tout petit aperçu, qui mets principalement en avant les scènes les plus récupérées du nº1.</p>
<p>A voir absolument, entre amis, dans n’importe quelle salle de cinéma car les traits d’humour et l’histoire sont ses atouts, pas besoin d’une salle pour films d’action… Bien que l’action ne manque pas !</p>
<h2 id="limitless">Limitless</h2>
<p><a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=135564.html">Informations détaillées sur Allociné</a>.</p>
<p>De très loin mon préféré de cette liste. Une intrigue passionnante dans un monde de requins et de drogues fournissant de la puissance… Et en plus sans la petite morale à la fin, ce qui est en fait très déconcertant !</p>
<p>On peut apprécier de plus de nombreux effets graphiques époustouflants pour les représentations de longs trajets et de temps qui passe, ainsi qu’un très bon jeu d’acteur qui nous permets une plongée dans le film dès les premières secondes.</p>
<h2 id="london-boulevard">London Boulevard</h2>
<p><a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=142736.html">Informations détaillées sur Allociné</a>.</p>
<p>Film splendide au niveau des ambiances mises en place. Le scénario souffre de quelques légéretés, mais il se place tout de même en très bonne position dans cette liste, sûrement deuxième après Limitless… Un jeu d’acteurs merveilleux.</p>
<p>Dans la catégorie nouveau style de film, on ne retrouve pas non plus de morale évidente, ce qui est une bonne chose dans notre société d’assistés. Pour une fois, à vous de comprendre votre propre conclusion !</p>
<h2 id="low-cost">Low Cost</h2>
<p><a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=176563.html">Informations détaillées sur Allociné</a>.</p>
<p>Simple mais relativement efficace, et disposant d’un scénario sans queue ni tête, c’est tout de même un moment de détente durant lequel le cerveau n’est pas l’organe le plus utile de votre corps.</p>
<p>D’après les rires dans la salle, je dirais que le film ne mérite tout de même pas les critiques qu’il reçoit, car il permet de passer un bon moment, mais ne mérite peut être pas d’être vu au cinéma. Il pourrait sans mal remplacer n’importe quelle comédie à la télévision en prime time.</p>
<h2 id="omar-ma-tuer">Omar m’a tuer</h2>
<p><a href="http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=182349.html">Informations détaillées sur Allociné</a>.</p>
<p>On aurait pu s’y attendre, ce film partisant nous fait passer de quelques scènes pseudo émotives à d’autres innombrables longueurs… Il a tout de même l’avantage de faire connaître une affaire judiciaire qui n’est pas forcément un bon exemple de fonctionnement de la justice française.</p>
<p>Qu’en dire… Aucun intérêt au cinéma si ce n’est de pouvoir toucher les jeunes, intéressant tout de même sur le fond, mais je ne connais pas assez le dossier pour avoir plus d’avis sur la façon dont il a été traité.</p>
<h2 id="les-tuche">Les Tuche</h2>
<p>Visible en avant première à l’UGC de Lille centre, en présence de l’équipe du film.</p>
<p>Je vous laisse retrouver mon article complet à ce sujet paru mercredi : <a href="/cinéma/cinema-les-tuches-lavant-premiere/">Les Tuche, l’avant première</a>.</p>
<h2 id="cest-tout-">C’est tout ?</h2>
<p>Oui, c’est tout pour le moment ! Si vous voulez une critique plus complète d’un de ces films, n’hésitez pas à demander grâce aux commentaires.</p>
<p>Je tiens tout de même à attribuer une mention spéciale au film “Rien à Déclarer”, que je n’avais pas eu l’occasion de voir au cinéma, et que j’ai pu visionner à l’occasion de sa sortie en DVD. Bien entendu, pour ceux qui sont rebuttés par les clichés, ne le regardez surtout pas !</p>
<p>A bientôt pour une prochaine rubrique ciné ! (la semaine prochaine “l’élève Ducobu”, “Ni à vendre, ni à louer” et “Transformers 3” en avant première).</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/cin%C3%A9ma/cinema-resume-des-episodes-precedents-2">Cinéma : résumé des épisodes précédents</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on June 24, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/cin%C3%A9ma/cinema-les-tuches-lavant-premiere2011-06-23T01:01:22+02:002011-06-23T01:01:22+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Ce soir, j’ai eu la chance d’assister à l’avant première du film “Les Tuche”, d’Olivier Baroux, qui sortira en France le 1 juillet, avec en bonus une rapide visite des deux acteurs principaux et du réalisateur.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-06-23-cinema-les-tuches-lavant-premiere/01.jpg"><img src="/images/posts/2011-06-23-cinema-les-tuches-lavant-premiere/01.jpg" alt="Affiche du film "Les Tuches", d'Olivier Baroux" /></a></p>
<p>Bonne comédie française, dans laquelle nombre d’entre nous peut éventuellement se retrouver. A voir pour ceux qui profitent de tarifs intéressants. Pourquoi ne pas aller le voir le 1er juillet, dernier jour de la fête du cinéma, ou encore un dimanche matin pour les autres ?</p>
<p>Attention pour les intellectuels, l’humour légèrement lourd est omniprésent, et bien entendu les clichés sont de rigueurs… Ce qui lui vaudra probablement de très mauvaises critiques de la part de la presse, qui contrasteront sûrement avec les avis du public.</p>
<p>Pour ma part, le film m’a beaucoup plu, et ce malgré une très forte appréhension étant donné que je pensais avoir vu la majorité des scènes humoristiques dans la bande annonce… Le film m’a d’ailleurs agréablement surpris sur ce point.</p>
<p>Effet avant première ou non, la salle était pleine et les éclats de rire ont globalement retentis tout au long de la projection, ce qui laisse penser que le film peut potentiellement rencontrer un fort succès.</p>
<p>Petit point supplémentaire pour ce film pour le casting intéressant, mêlant des acteurs connus en premier plan et en arrière plan, avec un certain nombre d’acteurs bien moins connus en rôles secondaires, mais présents tout au long du film et participant activement à son déroulement. Les acteurs prennent particulièrement à cœur leurs rôles, ce qui rends le film d’autant plus sympathique.</p>
<p><strong>Un film à voir pour les amateurs d’humour légèrement lourd. La bande annonce est assez représentative mais ne montre pas tout le film, si vous l’aimez allez voir le film !</strong></p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/cin%C3%A9ma/cinema-les-tuches-lavant-premiere">Cinéma : Les Tuche, l'avant première !</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on June 23, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/cin%C3%A9ma/comment-aller-au-cinema-sans-payer-trop-cher2011-06-19T01:08:57+02:002011-06-19T01:08:57+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Titulaire d’une carte cinéma illimité entre 2007 et 2010, puis de nouveau depuis moins d’un mois, je m’étonne toujours du peu de gens informés du caractère accessible de ces offres. C’est pourquoi j’ai décidé d’écrire dès ce soir un article à ce propos.</p>
<h2 id="les-offres-sans-rductions">Les offres sans réductions</h2>
<p>Pour commencer cet article, je vais faire un état des lieux du cinéma en France. Pour ce faire, je vais prendre en compte trois grosses chaines (“Kinepolis”, “Pathé - Gaumont” et “UGC Ciné cité”).</p>
<p>Je laisse volontairement de côté les cinémas art et essai, ainsi que les cinémas de quartier, qui proposent en général des prix bien plus attractifs en plein tarif, mais ne disposent malheureusement pas des tous derniers <strong>Blockbusters</strong> et autres grosses productions attirant un maximum de public dont je fais généralement parti…</p>
<p>Intéressons nous maintenant aux places plein tarif de ces trois chaines : 9,90 € pour UGC en première place, 9,90 € aussi pour Kinepolis, et 10,20 € chez Pathé… De quoi attirer les foules, qui, malgré ce que l’on entends dans les médias, sont toujours bien présentes dans les cinémas aux vues des files d’attentes.</p>
<h2 id="les-tarifs-rduits">Les tarifs réduits</h2>
<p>Les cinémas proposent tous des offres à tarif réduit, permanents par exemple dans le cas des offres étudiantes, mais aussi pour certains horaires, comme les séances du dimanche matin (jour du seigneur…) où les gens ne sont pas encore réveillés… (séances d’ailleurs fréquemment pleines d’après mes souvenirs de l’époque du lycée…).</p>
<p>Cette fois ci, hors réductions étudiantes, UGC prends la tête et propose des scéances à 5,50€ tous les jours avant 11h, qu’on retrouvera un peu plus cher chez Pathé/Gaumont, alors que Kinépolis ne nous proposera la réduction que le dimanche, ce qui est dommage pour nos amis passionnés par la messe ou éventuellement téléfoot et turbo…</p>
<h2 id="vous-allez-2-fois-par-mois-ou-plus-au-cinma-">Vous allez 2 fois par mois ou plus au cinéma ?</h2>
<p>Si vous allez plus de deux fois au cinéma (dans une même chaîne de cinéma bien entendu) dans le mois, que vous êtes sur de le faire pendant un minimum d’un an, la carte cinéma illimité est faite pour vous. Pour ma part, j’ai testé celle de Pathé Gaumont pendant environ trois ans, et j’ai maintenant un accès aux salles UGC (le changement s’explique par un changement géographique lié à mes activités personnelles, je ne suis plus à proximité d’un pathé/gaumont).</p>
<p>Les cartes disponibles dans ces deux chaînes coûtent environ 20 € par mois (un peu moins mais de quelques centimes) pour un accès illimité pour une personne. Il y a cependant une trentaine d’euros de frais d’inscription, qui sont parfois offerts, surtout chez Pathé/Gaumont.</p>
<p>UGC propose par contre une offre pour deux sur laquelle Gaumont ne s’est pas encore aligné : une carte à 35 € par mois, au nom d’une seule personne, mais permettant l’accès à la salle pour le titulaire et un accompagnant.</p>
<p>Pathé propose par contre aux titulaires de cartes illimités de disposer de deux places supplémentaires à moins de sept euros pour deux personnes qui l’accompagne.</p>
<p>Faites cependant bien attention, ces contrats illimités ont des clauses d’engagement minimum d’un an.</p>
<h2 id="ma-conclusion">Ma conclusion</h2>
<p>Pour plus de deux séances par mois, sans hésiter la carte illimité. C’est mon cas et je le conseille à tous ceux qui peuvent se le permettre.</p>
<p>Pour le reste, fuyez les grandes chaînes et réfugiez vous dans les cinémas de quartier et l’art et essai, c’est la seule solution pour s’offrir un peu de culture ciné sans trop se ruiner, et vous aurez plus de chance de croiser des passionnés, mais moins de voir des grosses productions avec un écran plus que géant et un son énorme…</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/cin%C3%A9ma/comment-aller-au-cinema-sans-payer-trop-cher">Comment aller au cinéma sans payer trop cher</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on June 19, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/astuces/linux-simplifiez-vous-lextraction-en-console2011-06-11T23:09:15+02:002011-06-11T23:09:15+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Ce soir, je télécharge la dernière version de Zend Framework pour un projet que je dois mettre à jour. Sur le site de Zend, le fichier est proposé en tar.gz, fichier que je télécharge.</p>
<p>Comme à chaque fois que je télécharge un fichier tar.gz, je me pose la question qui tue : <strong>C’est quoi déjà la commande pour dés-archiver un fichier tar.gz ?</strong></p>
<blockquote>
<p>Mais c’est pourtant simple ! “tar xvzf” suivi du nom de ton fichier…</p>
</blockquote>
<p>Ah oui, c’est vrai ! Mais coup de chance, ce soir je suis tombé sur une réponse plus intéressante qu’à l’habitude, ou tout au moins si elle n’est pas forcément plus intéressante, elle va me simplifier la vie à l’avenir.</p>
<p>Ouvrez votre fichier <code>.bashrc</code>.</p>
<p><code>vim ~/.bashrc</code></p>
<p>Ajoutez le code suivant à la fin du fichier. Il s’agit d’une fonction bash qui va déterminer le type de fichier à extraire et lancer la commande associée, ou alors renvoyer un message d’erreur.</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-bash" data-lang="bash">extract <span class="o">()</span> <span class="o">{</span>
<span class="k">if</span> <span class="o">[</span> -f <span class="nv">$1</span> <span class="o">]</span> <span class="p">;</span> <span class="k">then</span>
<span class="k">case</span> <span class="nv">$1</span> in
*.tar.bz2<span class="o">)</span> tar xvjf <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.tar.gz<span class="o">)</span> tar xvzf <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.bz2<span class="o">)</span> bunzip2 <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.rar<span class="o">)</span> rar x <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.gz<span class="o">)</span> gunzip <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.tar<span class="o">)</span> tar xvf <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.tbz2<span class="o">)</span> tar xvjf <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.tgz<span class="o">)</span> tar xvzf <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.zip<span class="o">)</span> unzip <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.Z<span class="o">)</span> uncompress <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*.7z<span class="o">)</span> 7z x <span class="nv">$1</span> <span class="p">;;</span>
*<span class="o">)</span> <span class="nb">echo</span> <span class="s2">"don't know how to extract '$1'..."</span> <span class="p">;;</span>
<span class="k">esac</span>
<span class="k">else</span>
<span class="nb">echo</span> <span class="s2">"'$1' is not a valid file!"</span>
<span class="k">fi</span>
<span class="o">}</span></code></pre></div>
<p>Vous avez ensuite deux possibilités. Soit vous redémarrez votre console, et vous pourrez alors utiliser la commande extract suivi du nom de votre fichier à dés-archiver, soit vous ne voulez pas redémarrer et il vous suffit alors d’entrer la commande <code>source ~/.bashrc</code> et vous pourrez utiliser immédiatement extract.</p>
<p>Astuce trouvée sur CrunchBangLinux : <a href="http://crunchbanglinux.org/forums/topic/586/howto-extract-compressed-files-in-terminals-or-console">HOWTO: Extract compressed files in terminals or consoles</a>.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/astuces/linux-simplifiez-vous-lextraction-en-console">Linux - Simplifiez vous l'extraction en console !</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on June 11, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/tutoriels/utiliser-ckeditor-comme-wysiwyg-dans-zend-framework2011-05-02T17:03:57+02:002011-05-02T17:03:57+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Lors du développement d’une application web comportant une zone d’administration, une problématique est récurrente : comment vais-je intégrer un éditeur graphique pour que le client puisse personnaliser ses textes ?</p>
<p>Dans cet article, je vous propose ma technique pour intégrer l’éditeur wysiwyg CKeditor au sein de votre application Zend Framework, en partant du principe que la structure des fichiers du site est celle proposée par Zend_Tool, en ajoutant une configuration fonctionnelle de ZendX_JQuery (si vous ne savez pas comment obtenir un tel projet, je vous conseille mon article <a href="https://www.generation-pc.net/2011/04/zendx-jquery-mise-en-place/">ZendX jQuery – Mise en place dans Zend Framework</a>.</p>
<h2 id="dfinition-de-la-structure-du-projet">Définition de la structure du projet</h2>
<ul>
<li>/
<ul>
<li>application
<ul>
<li>config
<ul>
<li>application.ini</li>
</ul>
</li>
<li>layouts
<ul>
<li>…</li>
</ul>
</li>
<li>controllers
<ul>
<li>…</li>
</ul>
</li>
<li>views
<ul>
<li>…</li>
</ul>
</li>
<li>…</li>
<li>Bootstrap.php</li>
</ul>
</li>
<li>library
<ul>
<li>Application</li>
<li>Zend
<ul>
<li>…</li>
</ul>
</li>
<li>ZendX
<ul>
<li>…</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
<li>public
<ul>
<li>js</li>
<li>css</li>
<li>…</li>
<li>index.php</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
</ul>
<p>Les fichiers/dossiers en rouges sont ceux dans lesquels on va modifier des choses.</p>
<p>Premièrement, nous allons ajouter la référence permettant de charger automatiquement les dossiers et fichiers du dossier <code>/library/Application</code>, et pour cela il va falloir éditer le fichier <code>/application/config/application.ini</code>.</p>
<p>Toujours en considérant les fichiers générés par Zend_Tool, il va donc falloir ajouter la ligne suivante dans la catégorie production :</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-ini" data-lang="ini"><span class="k">[production]</span>
<span class="na">autoloaderNamespaces[]</span> <span class="o">=</span> <span class="s">"Application_"</span></code></pre></div>
<p>Maintenant qu’on a chargé le répertoire dans l’include path, il ne nous reste plus qu’à les ajouter. Télécharger les fichiers et installez les dans le dossier <code>/library/Application</code> [<a href="http://www.megaupload.com/?d=X8CKXS0J">Zip des fichiers</a>].</p>
<h2 id="dfinition-de-la-librairie">Définition de la librairie</h2>
<ul>
<li>/
<ul>
<li>library
<ul>
<li>Application
<ul>
<li>JQuery
<ul>
<li>Form
<ul>
<li>Element
<ul>
<li>TextareaCKEditor.php</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
<li>View
<ul>
<li>Helper
<ul>
<li>CKeditor.php</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
</ul>
</li>
</ul>
<p>On a presque fini je vous rassure. On ajoute rapidement le dossier de CKEditor [<a href="http://www.megaupload.com/?d=MLW6DPKN">version modifiée fonctionnelle avec ce tutoriel</a>] dans le dossier <code>/public/js/</code>.</p>
<p>On fini le tutoriel en ajoutant les aides de vues dans l’include path pour que Zend les retrouve. Ça se passe dans le Bootstrap de l’application. Etant donné que vous avez déjà <code>ZendX_JQuery</code> de configuré, vous devez avoir une méthode _initView ou similaire dans laquelle vous avez une variable view contenant une <code>Zend_View</code> :</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-php" data-lang="php"><span class="x">$view->addHelperPath('Application/JQuery/View/Helper', 'Application_JQuery_View_Helper');<br /></span></code></pre></div>
<p>Et voilà !</p>
<p>Je viens de lire aujourd’hui un article de Rob Allen sur les View Helpers dans Zend Framework, et il propose de les intégrer légèrement différemment. Au lieu de mettre la ligne précédente dans le Bootstrap, il propose d’ajouter la ligne suivante directement dans votre application.ini situé dans le dossier config.</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-ini" data-lang="ini"><span class="na">resources.view.helperPath.Application_View_Helper_</span> <span class="o">=</span> <span class="s">"Application/View/Helper/"</span></code></pre></div>
<p>Maintenant pour l’utiliser, il ne vous reste qu’à instancier un objet <code>Application_JQuery_Form_Element_TextareaCKEditor</code> et l’ajouter à un <code>Zend_Form</code> ou faire un <code>$this->ckeditor()</code> sur un objet vue.</p>
<p>Il est par ailleurs possible de passer des paramètres à une instance d’<code>Application_JQuery_Form_Element_TextareaCKEditor</code> en utilisant la méthode <code>setJQueryParam($name, $value)</code>. Pour connaitre la liste des paramètres disponibles, rendez vous sur le site de CKEditor.</p>
<p>La principale restriction actuelle de cet élément de formulaire est que le chemin vers la librairie est statique, et que le dossier ckeditor doit donc nécessairement se trouver dans <code>/public/js/</code>.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/tutoriels/utiliser-ckeditor-comme-wysiwyg-dans-zend-framework">Utiliser CKeditor comme WYSIWYG dans Zend Framework</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on May 02, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/tutoriels/utiliser-google-web-font-api-dans-un-projet-zend-framework2011-04-24T19:27:20+02:002011-04-24T19:27:20+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Utiliser <a href="http://www.google.com/webfonts">Google Web Font</a> est un outil proposé par Google permettant d’utiliser dans un site web une police non standard pour embellir son site, en choisissant dans une liste donnée.</p>
<p>Je ne suis pas ici pour vous expliquer les avantages et inconvénients de cet outil, mais pour faire court, l’intérêt d’utiliser Google Web Font plutôt que <code>@font-face</code> notamment est la mise en cache de la police, et donc un chargement plus rapide si l’utilisateur est déjà passé sur un site utilisant cet outil.</p>
<p>Passons à l’intégration proprement dite. Si nous choisissons une police, disons Special Elite qui est la première dans la liste au moment où j’écris ces mots, et que nous voulons l’intégrer (“utiliser cette police”), Google nous fournit la ligne suivante à coller dans notre code HTML.</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-html" data-lang="html"><span class="nt"><link</span> <span class="na">href=</span><span class="s">'http://fonts.googleapis.com/css?family=Special+Elite'</span> <span class="na">rel=</span><span class="s">'stylesheet'</span> <span class="na">type=</span><span class="s">'text/css'</span><span class="nt">></span></code></pre></div>
<p>Parfait me direz vous ! Quel est le problème encore ?</p>
<p>Le problème ici, c’est que Zend Framework propose une architecture MVC intéressante à ce niveau là, car ça nous permettra d’inclure où l’on a besoin seulement la police voulue.</p>
<p>Ce mécanisme est simplement possible grâce à une <a href="http://framework.zend.com/manual/fr/zend.view.helpers.html">aide de vue</a>. Regardons donc ce qu’on trouve dans la liste des aides de vue par défaut, et arrêtons nous sur… L’<a href="http://framework.zend.com/manual/fr/zend.view.helpers.html#zend.view.helpers.initial.headlink">aide de vue HeadLink</a>.</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-php" data-lang="php"><span class="x">$this->headLink()->appendStylesheet('http://fonts.googleapis.com/css?family=Special+Elite');</span></code></pre></div>
<p>Cette dernière instruction ajoute la feuille de style donnée (celle fournie par Google) à la pile de l’aide d’action <code>HeadLink</code>. Il ne restera alors qu’à afficher tous les liens dans le layout comme il se doit.</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-php" data-lang="php"><span class="x">echo $this->headLink();</span></code></pre></div>
<p>Bien sûr, nous avons ajouté précédemment une feuille de style à l’aide de vue depuis une vue, mais il est aussi possible d’en ajouter depuis une action d’un contrôleur d’action grâce à l’appel de <code>$this->view</code>, ou encore depuis le <code>Bootstrap</code>.</p>
<p>N’hésitez pas à poser des questions en commentaires pour les points de détails !</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/tutoriels/utiliser-google-web-font-api-dans-un-projet-zend-framework">Google Web Font dans un projet Zend Framework</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on April 24, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/articles/ubuntu-11-04-une-version-controversee2011-04-24T12:57:06+02:002011-04-24T12:57:06+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Je ne présente plus le désormais célèbre système d’exploitation libre GNU/Linux Ubuntu, laissant à mes lecteurs pas encore au fait se renseigner en lisant notamment <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Ubuntu">la page wikipedia à propos d’Ubuntu</a>.</p>
<p>Le 28 avril 2011, soit dans seulement quelques jours, Ubuntu sort une nouvelle version. Baptisée Natty Narwhal (le narval chic), elle portera le numéro 11.04 assigné comme d’habitude en utilisant l’année suivit du mois de la sortie.</p>
<p><a href="http://www.ubuntu.com/"><img src="/images/posts/2011-04-24-ubuntu-11-04-une-version-controversee/01.png" alt="The next version of Ubuntu is coming soon" /></a></p>
<p>Cette nouvelle version avait notamment pour but d’introduire une nouvelle interface, de sorte à rendre “plus beau” ce système d’exploitation si souvent critiqué à ses début pour son thème par défaut marron qui ne plaisait pas à tout le monde (pour les images, voir l’<a href="http://www.sizlopedia.com/2008/10/18/history-of-ubuntu-from-warthog-to-ibex/">article en anglais retraçant les Ubuntu de la 4.10 à la 8.10</a> sur le blog de <a href="http://www.sizlopedia.com/">sizlopedia</a>).</p>
<p><a href="/images/posts/2011-04-24-ubuntu-11-04-une-version-controversee/02.jpg"><img src="/images/posts/2011-04-24-ubuntu-11-04-une-version-controversee/02.jpg" alt="Ecran Ubuntu 10.04 (Lucid Lynx)" /></a></p>
<p>Par la suite, avec la version 10.04 (Lucid Lynx) apportait un nouveau thème pour le bureau Gnome. Plus sobre, contrasté entre son noir et ses différentes teintes de violet… Cette nouvelle interface à d’ailleurs reçu un grand nombre de commentaires positifs, tant de la part des rédacteurs de la blogosphère spécialisée que des utilisateurs débutants non investis dans le développement du système que j’ai pu rencontrer.</p>
<p>Malgré cette interface bien acceptée, Canonical semble chercher quelque chose de plus novateur. C’est dans ce cadre qu’Ubuntu fût équipé dès la version 10.10 et seulement pour la Netbook Edition d’une nouvelle interface baptisé Unity. Cette nouvelle interface est en fait une surcouche à l’environnement de bureau Gnome utilisé dans les version précédente. Je n’ai pas eu l’occasion de tester cette version, mais j’ai souvent entendu dire qu’elle consommait énormément de ressources.</p>
<p>Quel intérêt alors de sortir Unity ? Le fait est que les PC pour lesquelles la Netbook Edition est prévue sont des ordinateurs dotés d’écrans de petite taille, et que le cumul des deux barres des tâches/menus proposés par Gnome par défaut avec les barres de fenêtres et menus d’application commence à se faire sentir, et occupe une part importante de l’écran en apportant seulement des fonctionnalités utiles de façon ponctuelle. Unity devait résoudre ce problème en proposant une seule barre pour tout faire.</p>
<p>C’est là que la polémique commence. La plupart des utilisateurs étaient largement satisfait par un Gnome classique… Donc pourquoi changer tout ça, connaissant le coût de formation des utilisateurs ? Voyez par vous même cette nouvelle interface.</p>
<p><a href="/images/posts/2011-04-24-ubuntu-11-04-une-version-controversee/03.png"><img src="/images/posts/2011-04-24-ubuntu-11-04-une-version-controversee/03.png" alt="Nouvelle interface d'Ubuntu avec Unity" /></a></p>
<p>Dès ma première utilisation (lors des alpha publiques), je n’ai pu m’empêcher de penser : “Tiens, mais ça ne ressemblerait pas étrangement à l’interface de Mac OS ?”. Je ne connais pas plus que ça le système d’Apple (pour des raisons économiques principalement), mais ayant eu l’occasion de tester à quelques reprises sur des Macs appartenant à mon frère et ma sœur, ou encore lors de rares cours à l’université d’Édimbourg, j’ai vraiment ressenti la même sensation avec cette nouvelle interface.</p>
<p>Pour la petite histoire, jusqu’ici mes expériences sur le système d’Apple ne m’avaient vraiment pas convaincu, car je ne voyais pas l’intérêt de changer complètement une interface pourtant largement fonctionnelle et fournissant une productivité intéressante proposé par une majorité de systèmes.</p>
<p>Je me retrouve donc de nouveau, comme avec Mac, sur un système ou je dois tout réapprendre… Mauvaise foi ou pas, à vous de décider, mais je m’attelle à ce nouvel apprentissage que j’avais refusé d’effectué lors de mes expériences Apple (faute avouée à moitié pardonnée ? Qui a parlé de refus du changement ?). La prise en main de Unity, bien que semblant très différente de Gnome classique, s’est fait en fait assez simplement, mais qu’en est-il pour une personne moins avertie ? Je n’ai pas encore eu l’occasion de voir ça, mais je verrais peut être en rentrant en France comment le <a href="http://www.clubinfomontanay.fr/">Club Informatique Montanois</a> s’en sort par exemple.</p>
<p>Malgré tout, je persistais à m’énerver tout seul dans ma tête sur cette interface que je considérais comme une pâle copie de l’interface d’Apple (à laquelle il manquerait à priori quelques contrôles, et des commandes multi touches pour les ordinateurs portables), lorsque je suis tombé sur un article avec le même point de vue (voir encore plus tranché) sur <a href="http://geekdefrance.fr">Geek De France</a> : <a href="http://geekdefrance.fr/2011/04/22/langue-de-troll-1-ubuntu-cetait-mieux-avant/">Langue de troll #1 - Ubuntu c’était mieux avant</a>. Ce que j’en retire ?</p>
<p>Ubuntu 10.10 Netbook Remix :</p>
<blockquote>
<p>…Je n’ai jamais vu ma petite machine autant galérer qu’avec Unity. Comment une interface normalement prévue pour Netbook peut-elle être aussi gourmande en ressource ?!…</p>
</blockquote>
<p>Ubuntu 11.04
> Pour revenir sur le travail d’interface de Unity, il y a quelques années Mark Shuttleworth annonçait en substance qu’il désirait que Ubuntu devienne aussi belle d’un Mac OS.</p>
<blockquote>
<p>J’ai du mal comprendre parce qu’avec son dock latéral, sa barre de menu commune et ses icones de fenêtre à gauche, j’ai l’impression que Canonical voulait dire faire d’Ubuntu une réplique de la Pomme.</p>
</blockquote>
<blockquote>
<p>Franchement, si pour qu’Ubuntu devienne plus populaire, il lui faut devenir l’Apple du pauvre, alors il est révolu le temps ou on pensait que GNU/Linux serait devenir populaire en révolutionnant…</p>
</blockquote>
<p>Super, t’es heureux ? Quelqu’un pense comme toi ! Et alors ?</p>
<p>Et bien au delà du fait que ce soit dommage de proposer une alternative libre aux systèmes d’exploitation propriétaires, c’est surtout une honte de vouloir seulement chercher la reconnaissance au point d’abandonner toute estime de son travail et d’accepter d’être une version “pour les pauvres” d’un autre système…</p>
<p>Encore un maximum de mauvaise foi de ma part ? Non c’est bon ça suffit quand même !! Un exemple pour vous montrer que je ne suis pas réticent à tout changement : cette nouvelle version d’Ubuntu apporte une autre fonctionnalité dont on ne parle que peu, et qui me semble aussi être tirée d’un autre système d’exploitation, le positionnement des fenêtres grâces aux bords.</p>
<p>En effet, Windows 7 introduit une nouvelle façon de positionner les fenêtres : il est désormais possible de tirer une fenêtre vers le haut de l’écran, et lorsque le curseur touche le bord, la fenêtre prends tout l’espace de l’écran (barre des tâches exclue). De même, si l’on tire une fenêtre sur le bord droit ou gauche, la fenêtre sera maximisé sur la moitié d’écran respectivement de droite ou gauche. Cette fonctionnalité, plébiscitée des utilisateurs de Windows 7 pour son apport en productivité, est aussi intégrée dans la nouvelle version d’Ubuntu, et j’en suis très satisfait. S’agit-il de copie ? Oui et non, il s’agit d’une mise à niveau permettant un apport garanti en productivité, et ces apports n’appartiennent heureusement à personne.</p>
<p>Mais alors quel est mon avis final sur cette version ? Et bien je dirais dans un premier temps que cet article engagé contre Ubuntu et Canonical ne présente bien entendu pas <a href="http://doc.ubuntu-fr.org/natty">tous les aspects de cette nouvelle version</a>, qui propose par ailleurs un remplacement d’Open Office par Libre Office, symbole de respect du logiciel libre… Ensuite il se trouve que je suis en train d’écrire cet article depuis Ubuntu 11.04 Beta, ce qui veut dire que je me suis bien habitué à la nouvelle version et surtout à Unity, que je finis même par trouver agréable (d’ailleurs il faudrait que je trouve l’occasion de retester un Mac, si ça se trouve maintenant que je maîtrise Unity, j’aimerais bien Mac OS). Et finalement, et bien je me demande toujours si je continue ou non à conseiller Ubuntu à des débutants…</p>
<p>Cette nouvelle question est aussi celle que c’est posé TimCruz de Geek De France qui propose pour sa part d’utiliser <a href="http://www.linuxmint.com/">Linux Mint</a>, qui propose une version dérivée d’Ubuntu et une autre directement de Debian.</p>
<p>Personnellement je ne suis pas encore fixé, mais je pense que le coût en apprentissage et le fait que cet apprentissage ne permet pas aux débutants de se repérer en même temps sur un système Microsoft qui présentait une interface similaire et qui reste majoritaire sur le marché des systèmes d’exploitations va me pousser dans un premier temps à me faire un avis sur Linux Mint et quelques autres distributions, et de faire quelques articles sur les celles ci pour vous proposer des alternatives à Ubuntu.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/articles/ubuntu-11-04-une-version-controversee">Ubuntu 11.04 : une version controversée ?</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on April 24, 2011.</p>https://www.generation-pc.net/tutoriels/zend-framework-sur-un-hebergement-mutualise2011-04-22T13:33:20+02:002011-04-22T13:33:20+02:00Thomas Dutrionhttps://www.generation-pc.netthomas@generation-pc.net
<p>Cet article fait suite à une question posée sur le forum officiel de la communauté francophone de Zend Framework.</p>
<p><strong>Sujet :</strong> <a href="http://www.z-f.fr/forum/viewtopic.php?pid=32238">Arborescence du site en ligne</a></p>
<blockquote>
<p>Bonjour,</p>
<p>voila je veux mettre mon site en ligne, seulement vu que j’ai un serveur mutualisé je ne peux pas mettre certains dossiers comme library ou application à la racine.</p>
<p>Donc je voulais savoir si vous aviez une bonne arborescence a mettre en place au niveau du dossier httpdoc (équivalant de www je crois) sachant que du coup ça va me faire modifier pas mal de chemin dans le site.</p>
<p>merci d’avance ;-)</p>
<p>vince851</p>
</blockquote>
<p>Ma première réponse fût naturellement de lui proposer une réponse en le dirigeant vers une ressource en anglais que j’ai découvert il y a déjà quelques années : un article de Rob Allen (akrabat) intitulé “<a href="http://akrabat.com/zend-framework/zend-framework-on-a-shared-host">Zend Framework on a shared host</a>”. Malheureusement vince851 ne semble pas très à l’aise avec l’anglais.</p>
<p>Je propose donc dans ce post une traduction (non sans fautes j’imagine) de l’article d’Akrabat, qui respecte sûrement plus le côté technique que le style d’écriture…</p>
<p>Lorsque vous déployez un site de Zend Framework sur un hébergement mutualisé, vous ne pouvez généralement pas modifier le <code>DocumentRoot</code> pour pointer vers le dossier <code>/public/</code> du site. Par conséquent l’URL du site Web est <code>http://www.example.com/public/</code>. Ceci ne semble pas très professionnel, donc nous aimerions le supprimer.</p>
<p>[Note personnelle : le chemin public change selon votre architecture]</p>
<p>Le moyen le plus simple pour cette suppression si on considère un projet créé avec <code>Zend_Tool</code> est :</p>
<h2 id="crer-le-fichier-indexphp">Créer le fichier <code>/index.php</code></h2>
<div class="highlight"><pre><code class="language-php" data-lang="php"><span class="x">define('RUNNING_FROM_ROOT', true);</span>
<span class="x">include 'public/index.php';</span></code></pre></div>
<p>Cette instruction va permettre le changement de racine du site web pour utiliser l’<code>index.php</code> déjà créé dans le dossier public par <code>Zend_Tool</code>, et nous n’aurons rien à modifier si on déplace le site sur un VPS ou autre où on peut changer le <code>DocumentRoot</code> directement à <code>/public</code>.</p>
<h2 id="crer-le-fichier-htaccess">Créer le fichier <code>/.htaccess</code></h2>
<div class="highlight"><pre><code class="language-apacheconf" data-lang="apacheconf"><span class="err">SetEnv APPLICATION_ENV </span><span class="nb">development</span>
RewriteEngine On
<span class="err">RewriteRule </span>.<span class="err">* index</span>.<span class="nb">php</span></code></pre></div>
<p>On crée un fichier <code>.htaccess</code> qui redirige toutes les requêtes sur l’<code>index.php</code> que l’on vient de créer. Ce que l’on veut faire en faisant grâce à cette technique, c’est empêcher l’accès au fichier <code>application/configs/application.ini</code> [qui peut notamment contenir les informations de connexion à la base de données, etc]. Bien entendu, donner la valeur correcte à la constante <code>APPLICATION_ENV</code> !</p>
<h2 id="rfrences-pointant-sur-les-fichiers-publics">Références pointant sur les fichiers publics</h2>
<p>Après avoir créé une règle de réécriture très agressive dans le .htaccess, qu’advient-il des fichiers css, js et images contenus dans le dossier public ? [Sous entendu, le nouveau système ne permettra pas l’affichage de ces fichiers].</p>
<p>Heureusement, nous disposons dans le dossier public d’un fichier <code>.htaccess</code> capable de gérer correctement la situation. Comme Apache exécutera le fichier <code>.htaccess</code> dans le répertoire le plus profond qu’il trouve, toute référence à un dossier ou fichier contenu dans <code>/public/</code> sera correctement servit.</p>
<p>Vous devez être au courant de celà lors du référencement des fichiers publics et ajoutez la racine du dossier public à l’url de base (<code>baseUrl</code>) vous-même.</p>
<p>Par exemple, vous pouvez configurer votre fichier CSS et d’autres paramètres d’affichage dans un plugin de contrôleur frontal comme ceci :</p>
<div class="highlight"><pre><code class="language-php" data-lang="php"><span class="x">class App_Controller_Plugin_View extends Zend_Controller_Plugin_Abstract</span>
<span class="x">{</span>
<span class="x"> public function dispatchLoopStartup(Zend_Controller_Request_Abstract $request)</span>
<span class="x"> {</span>
<span class="x"> $frontController = Zend_Controller_Front::getInstance();</span>
<span class="x"> $view = $frontController->getParam('bootstrap')->getResource('view');</span>
<span class="x"> $view->doctype('XHTML1_STRICT');</span>
<span class="x"> $baseUrl = $request->getBaseUrl();</span>
<span class="x"> if (defined('RUNNING_FROM_ROOT')) {</span>
<span class="x"> $baseUrl .= '/public';</span>
<span class="x"> $frontController->setBaseUrl($baseUrl);</span>
<span class="x"> }</span>
<span class="x"> $view->headLink()->appendStylesheet($baseUrl . '/css/main.css');</span>
<span class="x"> $view->headLink()->appendStylesheet($baseUrl . '/css/screen.css', 'screen');</span>
<span class="x"> $view->headLink()->appendStylesheet($baseUrl . '/css/print.css', 'print');</span>
<span class="x"> }</span>
<span class="x">}</span></code></pre></div>
<p>(Pour ce code, on considère que vous avez ajouté <code>resources.view[] = "" au fichier application.ini</code>)</p>
<p>Comme on dispose d’une constante qui nous informe du fait qu’on exécute le script directement depuis la racine ou non, on peut ajouter dynamiquement le <code>/public</code> dans l’url. Si on change d’hébergement pour un où on peut changer le <code>DocumentRoot</code> directement sur le dossier <code>/public</code>, on n’aura pas besoin de modifier ce code.</p>
<p>C’est tout. Votre application Zend Framework doit normalement fonctionner proprement sur un hébergement mutualisé.</p>
<p>Personnellement cette solution me semble assez propre étant donné qu’elle permet une certaine portabilité en fonction de l’hébergement choisi, avec possibilité d’évolution de l’offre d’hébergement.</p>
<p>Pour ceux qui souhaitent ne pas se compliquer la vie avec ça, certains hébergeurs (OVH notamment) propose une structure de dossier permettant la mise en place d’une application Zend Framework avec la structure par défaut proposée par <code>Zend_Tool</code>.</p>
<p><a href="https://www.generation-pc.net/tutoriels/zend-framework-sur-un-hebergement-mutualise">Zend Framework sur un hébergement mutualisé</a> was originally published by Thomas Dutrion at <a href="https://www.generation-pc.net">Génération PC</a> on April 22, 2011.</p>